Afin de réaliser ce gratin pour  " très digeste " pour 4 personnes il faut les ingrédients suivant :

 

1,5 kg de pommes de terre

8 gousses d'ail

6 feuilles de laurier

huile d'olive

eau sel et poivre

 

Préparation et cuisson :

 Epluchez les pommes de terre et coupez les en lamelles

 Disposez-les dans un plat  allant au four

 Versez 1/2 verre d'huile pour 1 verre d'eau 

 Renouvelez l'opération jusqu'a ce que les pommes de terre soient recouvertes

 Salez et poivrez puis disposez les gousses d'ail sans les éplucher

 Répartissez les feuilles de laurier

 Mettez au four pendant 1 bonne heure à 180°C (th 6)

    Avec tous ces produits naturels , on peut se faire plaisir sans se faire de mal .

 

Le miel : le champion anti-infections

Son acide fornique est eficace contre les maux de orge et les toux .

C'est quoi ?  Du nectar de fleurs transformé par les abeilles

Ses points forts : En plus des vitamines, minéraux et oligo-éléments , le miel renferme des enzimes et des acides organiques . C'est d'ailleurs l'un d'entre eux , l'acide formique , qui fait du miel une arme contre les maux de gorge et la toux . Les miels venant de fleurs différentes , ils en gardent des vertus spécifiques ; le miel de tilleul lutte contre les insomnies , celui de lavande contre la toux et les infections respiratoires , celui d'oranger a un effet apaisant .

Valeur calorique : entre 250 et 300kcal pour 100 g

Comment l'utiliser ?  De préférence à froid , sur des tartines ou dans des laitages , afin de ne pas dénaturer ses enzymes bénéfiques .

Bon à savoir :  Pour la même raison , achetez du miel non chauffer (à vérifier sur l'étiquette )

 

Les sirops de cérales ; riches en minéraux

Les sirops de céréales ont une teneur en minéraux élevée

C'est Quoi ? Des sirops issus de la fermentation de céréales (blé, riz, maïs, orge )

On les trouve dans les magasins diététiques et bio .

Leurs points forts : ils s'illustrent par leur teneur en minéraux , notamment en calcium, magnésium et phosphore . Le sirop de malt d'orge est le champion toutes catégories . En revanche , leur pouvoir sucrant est un peu inférieur à celui des sirop d'érable ou d'agave

Valeur calorique : 315 kcal pour 100 g .

Comment les utiliser ? Dans des compotes ou des laitages , mais également pour préparer gâteaux au chocolat , cakes, mifflins ... Le sirop de riz est doux et miellé en bouche , celui d malt d'orge  une saveur très typée

Bon à savoir : Pour les incorporer parfaitement aux pâtes à gâteaux, fluidifiez-les au bain-marie

 

Gare au sirop de glucose-lactose !

Vous avez sans doute déjà vu ce nom dans la liste de produits du commerce (certains gâteaux, sirops, sauces...) Parce qu'il possède un pouvoir sucrant plus élevée et qu'il coute moins cher que le vrai sucre , les industriels l'utilisent de plus en plus à la place de ce dernier , y compris dans les confitures (bas de gamme certes ). Or , on sait qu'en excès , il augmente le taux de triglycérides , le risque de surpoids , de diabète et de résistance à l'insuline (prédiabète ) . Soyez donc vigilant en faisant vos courses et préférez toujours un produit qui n'en contient pas . 

 

Mangez-vous trop sucré ?

en moyenne, on recommande de ne pas consommer plus de 50 g de <<sucres rapides>> par jour , soit un peu plus de 8 morceaux de sucre .

 Un morceau dans le café = 6 g

 Une canette de soda = 36 à 42 g

 Un Sundae cacao McDonald = 41 g

 30 g de céréales de petit déjeuner = 13 g

 Un mars (42g) = 27 g

 2 sablés (30g) = 6 g

 

De la tasse de café au gâteau en passant par la compote , le sucre est partout . Afin de prendre soin de votre santé ou simplement tester de nouvelles saveurs , voici 5 idées pour le remplacer .

 

Vous ne pouvez pas vous passer de sucre dans votre café , votre thé , votre yaourt ? Pour les gourmands qui veulent changer leurs habitudes et mieux sucrer , mais sans passer par la case édulcorants , La solution consiste à choisir des produits naturels de remplacement , plus interessant à tous niveaux . Outre le fait d'être plus savoureux , ils renferment aussi des nutriments (vitamines, minéraux , fibres ...) bénéfiques à notre organisme , contrairement au sucre blanc qui n'en contient presque aucun . Mais attention , que cela ne soit pas une raison pour en abuser ; l'objectif reste de limiter globalement sa consommation .

 

Le sirop d'érable ; l'allié minceur

Il a une belle couleur ambrée , mais aussi des composés au pouvoir oxydants .

     

C'est quoi ? De la sève d'érable concentrée ; il faut environ 40 litres pour obtenir 1 litre de sirop .

Ses points forts : La sève d'érable renferme de bonnes teneurs en vitamines B2 , zinc, magnésium, manganèse, cacium et potassium , ainsi que des composés au pouvoir antioxydants (qui protégent nos cellules du vieillissement ).

Sa valeur calorique est de 350 kcal pour 100 g .

Comment l'utiliser ? Sa saveur typée et prononcée en a fait le partenaire officiel des pancakes canadiens . Il donne aussi du goût aux yaourts et aux salades de fruits , nappe les gauffres et crêpes ... Les Nord -Américains l'utilisent pour faire des marinades , caraméliser des légumes (carottes, courge..) ou des viandes (jambonrôti au four , travers de porcau barbecue ).

A savoir ; plus sa couleur sera foncée , plus le sirop sera aromatique . 

 

Le sirop d'agave ; la douceur venue du cactus .

Son index glycémique bas en fait aussi un allié des régimes .

 

 

C'est quoi ?   De la sève chauffée d'un cactus d'Amérique du Sud (fermentée, on en fait de la téquila ) . Il était déja connu des Aztèques ,qui l'appelaient <<eau de miel>> . On le trouve au rayon diététique des grandes surfaces ou dans les magasins diététiques .

Ses points forts : Grâce a un index glycémique bas (20) , il ne perturbe pas notre taux de sucre sanguin , ce qui en fait un allié des régimes . Très sucrant , il s'utilise en petite quantité ; on gagne donc en calories .

Sa valeur calorique : 295 kcal pour 100 g .

Comment l'utiliser ? Son goût neutre convient aux boissons chaudes , aux yaourts, compotes ... Il est délicieux dans les entremêts lactés (riz au lait, semoule ...) mais la cuisson estompe son pouvoir sucrant ; il faut donc l'ajouter en fin de préparation .

A savoir : pour la même raison , on évite de l'utiliser pour les pâtisseries .

 

Le rapadura ; le plus complet

Même avec du simple lait chaud , c'est un délice .

C'est quoi ? Du sucre issu du jus de canne à sucre , déshydraté et non raffiné , ausi connu sous le nom de sucre de canne intégral ou complet , ou <<muscovado >> On le trouve dans les magasins diététiques . 

Ses points forts : Il renferme tous les composés de la canne à sucre : minéraux (potassium , calcium, magnésium, sodium, phosphore, fer, cuivre , zinc ,mangaèse, fluor ...), vitamines (Aet B majoritairement ) et acides aminés . Ce sont les minéraux qui lui donnent sa couleur brune . plus il est foncé , plus il est riche .

Sa valeur calorique : 390kcal pour 100 g .

Comment l'utiliser ? Sa saveur très prononcée de caramel et de réglisse révolutionne tout ce qu'elle touche : tarte aux fruits , compotes, pommesau four ... On en fait des pains d'épices sublimes et des confitures inédites (utilisez dans ce cas 50% de sucre classique et 50% de sucre complet )  .

 

 

 

Pour ce gratin très moelleux , la composition de votre panier por 6 personnes doit se composer  de :

 

6 courgettes

150 g de gruyère râpé

2 C à café de noix de muscade

20 g de beurre

sel et poivre

 

pour la béchamel :

40 g de beurre

40 g de farine

3/4 l de lait .

 

 

Préparation et cuisson :

 Coupez les courgettes avec leur peau en troçons de 0,5 cm d'épaisseur

 Salez et disposez dans un pat à gratin

 Faites déssécher dans le four à 180°C (th6) pendant 40 mn  pour qu'elles deviennent racornies  

 S'il y a beaucoup de rondelles , remuez pour que la dessication soit homogène

 

Préparez la béchamel dans une casserole

 Faites fondre le beurre sans le roussir

 Ajoutez la farine en remuant puis le lait

 Portez le tout à ébulition , en ajoutant les 3/4 de gruyère râpé , le poivre et la muscade

 Incorporez la béchamel petit à petit dans les courgettes en mélangeant bien (il ne faut pas qu'il y est trop de béchamel )

 Parsemez le reste de fromage râpé , un peu de beurre (20g)

 Mettez au four à 180°C (th6) pendant 10 mn

 

 

Spécificité française , le goûter permet d'éviter les fringales entre le déjeuner et le diner qui sont souvent espacés de 6 -7 heures .

Véritable repas , il participe à l'équilibre alimentaire quotidien et cela à tout âge A condition toutefois de ne pas avaler n'importe quoi , en quantité comme en qualité .

 

Un goûter équilibré

Plusieurs études ont montré l(intérêt du goûter , notamment dans la prévention de l'obésité .

D'après les études SU.VI. MAX1 et 2 (études sur la consommation alimentaire des français et leur état de santé -1994/2009). Les <<goûteurs >> réguliers sont moins corpulents que les <<non-goûteurs >>. 

Le quatre-heures équilibré permet de souvent d'éviter le grignotage intempestif ! Le grignotage , c'est craquer sur des aliments riches en calories mais pauvres en vitamines et minéraux (barres chocolatés , viennoiseries , chocolat, sodas ...), Alors que le goûter est un menu équilibré à lui tout seul.

 

A quel moment ?

Pris dans l'après-midi , il articipe à l'équilibre alimentaire quotidien souvent malmené par nos modes de vie , déjeuner rapide , diner tardif... Ainsi un sandwich pris sur la pouce à midi , sera idéalement complété par u laitage et un fruit vers 16 heures .

Grâce à cette petite collation

 Il est plus facile de consommer trois produitd laitiers et cinq fruits par jour

 De respecter les recommandations en terme d'apports de glucides et lipides

 Et de couvrir ses besoins en vitamines et minéraux .

 

Le goûter n'est pas réservé qu'aux enfants !

 

Si pour les enfants , la pause de l'après-midi est une véritable institution , elle a tendance à disparaître chez l'adulte . Or , le goûter s'adresse aussi aux femmes enceintes ou allaitantes , aux sportifs, aux personnes âgées  et à tous ceux qui mangent peu le midi .Le goûter est donc une bonne habitude pour tous . Si vous faites partie des <<grignoteurs >>, essayer donc de prendre le temps d'une vraie pause , avec un petit repas équilibré dans l'après-midi . 

 

Le goûter à tout âge se compose ainsi : 

 Une part de féculents riches en glucides complexes pour donner de l'énergie ; comme du pain et des céréales . 

 Un fruit ou une compote pour les vitamines et les fibres

 un produit laitier comme un yaourt, un verre de lait , du fromage blanc ou un morceau de fromage pour les apports en calcium et en protéines

 Et l'eau à volonté pour s'hydrater ...

Le tout éventuellement accompagné d'une pointe de confiture , de miel, de sucre , de chocolat ou d'un fruit oléagineux (noix, amande ...) pour le plaisir .     (source : Activ'santé / hiver 2012:/N 61) 

pour cette recette de 4 à 6 personnes il vous faut :

6 bulbes de fenouil

du beurre pour le plat

60 g de parmesan

 

pour la réalisation de  votre sauce béchamel

40 g de beurre

40 g de farine

3/4 l de lait

2 C à café de noix de muscade

sel et poivre .

 

Préparation et cuisson :

 Retirez les premières feuilles et faites blanchir les fenouil dans de l'eau bouillante pendant 10 mn

 

Réalisation de la béchamel

Dans une casserole , faites fondre le beurre , ajoutez la farine , puis le lait et portez à ébulition .

Salez et poivrez puis saupoudrez de noix de muscade .

 

Réalisation du gratin

Dans un plat à gratin beurré , déposez les fenouils , versez la béchamel et recouvrez de parmesan .

Faites gratiner au four pendant 10 mn

 

Selon le quotidien La Provence, un laboratoire de l'hôpital de la Timone, à Marseille s'apprête à tester un vaccin curatif contre le SIDA sur 48 volontaires séropositifs. Les tests devraient démarrer au cours des prochains jours.

 

C'est une étape qui pourrait s'avérer déterminante dans la lutte contre le SIDA. Lundi, le quotidien La Provence a annoncé qu'un essai clinique allait être lancé à Marseille pour évaluer l'efficacité chez l'homme d'un vaccin curatif dirigé contre le VIH. Les tests vont être menés par l'équipe du laboratoire de biologie structurale de l'hôpital de la Timone dirigé par le Dr Erwann Loret qui est l'inventeur de la "molécule anti-sida" à la base du vaccin.

 

Cette molécule cible une protéine appelée TAT produite par le VIH et qui participe au développement du virus puis à sa multiplication dans les cellules infectées. Celle-ci agit également sur le système immunitaire et l'empêche de "nettoyer" les cellules contaminées.

 

D'où l'intérêt que suscite cette protéine et plus particulièrement la possibilité de la bloquer.

 

Le vaccin curatif a déjà été testé chez l'animal et a montré des résultats prometteurs. La prochaine étape consiste donc à évaluer cette efficacité chez l'humain mais pour en arriver là, les chercheurs ont dû fournir plus de 10 ans de travail acharné, des dizaines de publications scientifiques et surtout obtenir des financements, précise La Provence.

 

Un travail qui a fini par porter ses fruits : "les autorités de santé ont donné leur autorisation finale il y a tout juste une semaine", précise le Dr Loret. Les tests devraient ainsi commencer au cours des prochains jours dans le service des maladies infectieuses de la Conception. Dirigés par le Dr Isabelle Ravaux, ils seront menés sur 48 volontaires séropositifs qui ont été soigneusement sélectionnés par les chercheurs. "L'essai va se dérouler sur un an, en trois injections. Des doses différentes de vaccin seront administrées selon les groupes de patients, afin de déterminer laquelle est la plus efficace", explique le Dr Ravaux cité par La Provence. L'un des groupes ne recevra lui que du placebo.

 

Un vaccin capable de remplacer la trithérapie ?

 

"Les premières injections démarreront dans quelques semaines, une fois que les patients auront été parfaitement informés et auront donné leur consentement éclairé", précise Isabelle Ravaux. Pendant l'année d'essai, les sujets devront en effet se plier à un suivi rigoureux et se présenter régulièrement au service pour que des contrôles soient effectués. De plus, tester le vaccin signifiera qu'ils devront arrêter leur traitement habituel. "Les patients séropositifs sélectionnés sont tous sous trithérapie. Ils devront interrompre ce traitement pendant deux mois pour que nous puissions valider la dose efficace du vaccin", ajoute le médecin.

 

L'objectif du vaccin est de réduire l'infection par le VIH voire de parvenir à le bloquer et par là-même d'éviter aux patients d'avoir à prendre "une trithérapie à vie, avec de lourds effets secondaires". Mais bien que cet essais soit d'une importance cruciale, le Dr Loret tient à rester prudent : "Surtout ne pas donner de faux espoirs aux malades". Dans un an, à l'issue de cette première phase, un second test sera lancé cette fois-ci sur 80 patients. source : MaxiSciences journal du 29 01 2013) 

Le petit Éli, six mois, a subi une délicate opération le 27 décembre dernier et, déjà un mois après sa greffe du foie, il se porte à merveille.

 

Quand il est né le 20 juin dernier, Éli semblait en parfaite santé, mais dès le lendemain de sa naissance, son état s'est détérioré.

Depuis, ses parents attendaient la greffe qui sauverait la vie du jeune garçon. Au début du mois de décembre, ils ont reçu un premier appel. Toutefois, ça n'a pas fonctionné. Heureusement, le second appel dans la nuit du 25 au 26 décembre était le bon.

«On était content de recevoir l'appel, mais on était angoissé en même temps à l'idée qu'il parte en chirurgie. C'est plein d'émotions qui se mêlent en même temps quand on reçoit l'appel», raconte Rachel Lacasse, la maman d'Éli.

Éli a été conduit en salle d'opération pour une intervention d'une durée de dix heures.

«On ne peut plus aller plus loin. Il faut le laisser aller avec les médecins. Ça, c'est dur. Puis, toute l'attente. On sait que c'est une grosse chirurgie, une chirurgie majeure, on sait qu'il peut arriver plein de choses», d'ajouter la mère.

Le bébé de six mois a reçu seulement la partie d'un foie. L'organe se régénère complètement en un an.

«Il est extrêmement fragile, surtout aux infections. Les trois à six premiers mois, il faut faire attention. Plus ça va aller, plus les doses d'antirejet vont diminuer», affirme Mme Lacasse.

Ils ne savent pas qui a sauvé la vie de leur fils.

«Tout ce qu'on sait c'est son poids. C'était une personne qui pesait 52 kilos, donc 114 livres», explique la maman qui aimerait tant remercier la famille du donneur.

«Vous avez sauvé la vie de notre fils, vous avez rendu notre vie encore plus facile. Elle va être plus facile, on va pouvoir vivre ensemble. Une vie de famille à la maison. Alors, je voudrais vraiment remercier cette famille. On est l'exemple parfait que ça fonctionne et que ça permet de sauver des vies», conclut Philippe Robichaud, le papa d'Éli.

Au Québec, 21 enfants ou adolescents sont en attente d'une greffe d'organe.

(source TVA nouvelles région de Montréal du 26 janvier 2013) 

1) La bronchiolite 

Une maladie angoissante mais le plus souvent bénine .

A l'arrivée de l'hiver , virus et bactéries sont en recrudescence .

Pour les personnes fragiles et nottament les plus jeunes , certaines infections constituent alors de véritables urgences dont il est parfois vital de reconnaître Les premiers signes .

La bronchiolite est une maladie inflamatoire aiguë due au virus respiratoire syncytial (VRS) touchant de façon prédominante les bronchioles du nourisson et pouvant entraîner une detresse respiratoire .

Contagion . 

Le virus respiratoire syncytial (VRS) est très contagieux et se transmet directement par les sécrétions nasales ou la salive, ou indirectement par les mains et les objets souillés .

Le lavage des mains doit être systématique avant de s'occuper du nourisson ; un simple lavage à l'eau et au savon suffit .

Des complications rares mais sévéres .

La bronchiolite touche principalement les enfants entre 1 mois et 2 ans en raison du faible calibre de leurs bronchioles .

Les nouveaux-nés de moins de six semaines , les enfants prématurés , ou ceux atteints de maldie du coeur ou des poumons sont davantage exposés à cette pathologie .

Les premiers signes de l'infection qui précédent la bronchiolite de 24 à 72 heures sont semblables à ceux d'une rhinopharyngite ; nez qui coule , toux, obstruction nasale variable avec peu ou pas de fièvre . Dans un second temps , les difficultés respiratoires dues à l'emcombrement des bronchioles se traduisent par une accélération du rhytme respiratoire .

Dans la grande majorité des cas , les signes cliniques disparaissent en 8 à 10 jours , la toux pouvant persister 2 à 3 semaines .

Une prise en charge en médecine de ville .

Le traitement consiste essentiellement à lutter contre l'encombrement bronchique et nasal et contre la déshydratation .

Pour faciliter la respiration de l'enfant , essentiellement nasale à cet âge , il est nécessaire de pratiquer un mouchage plusieurs fois par jour , en particulier avant chaque repas et au coucher .

Par ailleurs , les symptômes augmentent la perte en eau des nourrissons ; une bonne hydratation permet de favoriser la fluidité des sécrétions . Il est essentiel de proposer régulièrement à l'enfant des biberons d'eau .

Des scéances de kinésithérapie respiratoire peuvent être adjointes au traitement et nécessite une prescription médicale .

Les signes de gravité

L'hospitalisation ne se justifie que face à des signes de gravité . Le refus d'alimentation (perte de poids de plus de 5% ), les troubles digestifs , un changement de comportement , la détérioration de l'état respiratoire , une forte fièvre , sont les signes d'aggravatio qui nécessite une consultation médicale (source : activ'santé n°61/ Hiver 2012 )