• Déjeuner rapidement , c'est une chose . Mais ce n'est pas une excuse pour ne pas faire attention à son cholestérol.

    Choisir les bons ingrédients permet de faire des plats express ayant des bénéfices "anti-cholestérol" .      

    Ingrédients : (4  pers)

    1 oignon rouge

    1 boîte d'olives noires

    1 boîte de tomates confites

    1 boîte d'anchois marinés

    1 boîte de poivrons confits

    quelques feuilles d'origan

    4 tranches de pain de seigle

    20 g de margarine "fruit d'or pro-activ tartine "

    Sel et poivre      

    Préparation : 15 mn

     Hacher finement les feuilles d'origan (en réserver quelques unes pour la déco)

     les mélanger à la margarine

     Tartiner chaque tranche de pain de seigle avec ce mélange

     Eplucher l'oignon et le détailler finement

     Disposer surchaque tranche de pain,  de l'oignon, des tomates; des poivrons , des olives et des anchois

     Parsemer de quelques feuilles d'origan

     Saler et poivrer  puis déguster bien frais

         


    1 commentaire
  • Reine des reinettes farcies de mousse légère aux pommes 
     
      Ingrédients (pour 4 personnes) :

    Pommes reinette farcies

    Préparation et cuisson :


    laver les pommes , couper les chapeaux .

    Evider les pommes , enlever les cœurs et couper la chair en dés

    Dans une casserole , mettre les dés , le sucre , la margarine , la cannelle  et 10 centilitres d'eau .

    Cuire 15 minutes , bien dessécher .

    Passer au mixeur, mettre dans un saladier et ajouter la levure .

    Battre les blancs d'œufs très fermes et ajouter délicatement à la compote .

    Remplir les pommes de cette mousse et cuire à 160° (th5-6) pendant 30 minutes .

    Faire un caramel blond avec le sucre et 3 cuillères à soupe d'eau .

    Ajouter la crème liquide et faire réduire jusqu'à obtenir une sauce lisse .

    Servir tiède .

    Napper de sauce caramel.


    4 commentaires
  • Valeur nutritionnelle : (par pers)

    Protéines : 11,5 g           Lipides : 7 g        Glucides : 15 g        Energie : 169 kcal      

    Ingrédients : (2 pers)

    50 g de salade rouge

    1 petite pomme verte

    100 g de dés de jambon

    50 g de radis

    1 petite carotte

    1 C à café d'huile d'olive

    1 jus de citron jaune    

    Préparation : 15 mn

     Lavez et épluchez la salade , les radis, la pomme et la carotte

     Découpez la pomme en cubes, les radis en rondelles et râpez la carotte

     Disposez la salade au fond de l'assiette puis déposez au centre un mélange contenant les carottes, les radis, le jambon et la pomme

     Préparez un assaisonnement à base d'huile d'olive et de jus de citron

     Servez le tout très frais .


    2 commentaires
  • Ingrédients pour 4 personnes

    Flan aux ananas

    Préparation et cuisson :


    Verser la farine dans un saladier et creuser un puit au milieu
    Ajouter les oeufs et l'édulcorant
    Bien mélanger. Verser le lait et remuer jusqu'à obtenir un mélange homogène.
    Verser la préparation dans un plat légérement graissé.
    Ajouter les fruits égouttés et coupés.
    Faire cuire a four chaud 40 mn environ (tester avec la pointe d'un couteau).


    2 commentaires
  •  Si vous avez souffert de diabète pendant votre grossesse , vous devez surveiller votre glycémie . 

     

    Car le risque de développer un diabète de type 2 dans les années qui suivent est considérablement augmenté .

    Après la grossesse , attention au diabète !

      

    Le diabète prend des allures d'épidémie . Il touche aujourd'hui 2,9 millions de personnes en France et en touchera 5 millions en 2020 ...

     << Et malheureusement , regrette le professeur Emmanuel Cosson , diabétologue au CHU Jean Verdier de Bondy en Seine-Saint-Denis , encore trop de patient souffrent de complications : troubles de la vision , insuffisance rénale , douleurs invalidantes au niveau des jambes , ou même des maladies cariaques liées à une découverte trop tardive de la maladie >> .

     Aujourd'hui , 600 000 Français vivraient ainsi avec un diabète sans le savoir . A commencer par les femmes qui l'ont eu lorsqu'elles étaient enceintes ( diabète gestationnel ) et pour lesquelles le risque de développer un diabète de type 2 , c'est-à-dire non insulino dépendant , est multiplie par 5 , cinq ans après l'accouchement , et par 9 au- delà .

    Faites-vous dépister

     Pour l'éviter , les mesures hygiéno-diététiques entreprises pendant la grossesse ( mieux manger et bouger plus ) doivent être poursuivies après , et leur efficacité régulièrement contrôlée par un bilan glycémique .

     Or , les femmes qui ont fait un diabète gestationnel pensent souvent que tout est rentré dans l'ordre après l'acouchement , ignorant qu'elles peuvent à nouveau souffrir de la même maladie , qui sera cette fois définitive .

     Une fatalité refusée par des professionnels de santé qui ont lancé en partenariat avecle laboratoire NOVO NORDISK , une campagne de sensibilisation et d'information .  Son slogan ; << Vous avez eu un diabète pendant votre grossesse . Vous avez un risque de devenir diabétique . Faites-vous dépister ! >> Il n'est jamais trop tard .


    1 commentaire
  • l’institutrice donne un de ses reins à son petit élève malade

    Une institutrice donne un de ses reins à un élève

    Aux Etats-Unis, une institutrice s’est avérée compatible pour donner un rein à un de ses élèves, malade. Elle n’a pas hésité.

    Quand elle a su qu’elle était compatible, la jeune femme n’a pas hésité. Elle s’est portée volontaire pour donner un rein à un de ses élèves. L'histoire est rapportée par le bulletin d'information local de Hoffmann Lane. Dans cette petite école de New Braunfels, ville du Texas, aux Etats-Unis, la jeune institutrice Lindsey Painter est appréciée de tous. Elle a dans sa classe cette année des triplés. Trois petits garçons, dont un, Matthew, a une maladie rénale.

    Le trouble l’handicape dans beaucoup d’aspects de sa vie quotidienne. Pour l’instant, Matthew vient à l’école deux fois par semaine. Les autres jours, il est en dialyse, et passe le reste du temps à recevoir les cours à domicile. En raison de sa maladie, il ne peut pas nager, manger du chocolat, ou même courir… Même l’eau qu’il boit est rationnée chaque jour, car son corps s’assimile par les liquides normalement. Une situation qui pèse au petit garçon. A Noël, il a même demandé à ses parents un nouveau rein comme cadeau.

    70 donneurs potentiels

    La situation est prise en main par la University transplant center, qui lance un appel national pour trouver un donneur. Plus de 70 personnes sont testées. Mais les parents de Matthew le savent : la quête risque d’être longue. "C’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin", raconte Lisa Parker, la maman de Matthew. "Même l’infirmière à l’hôpital nous disait d’être réalistes, que ce serait difficile".

    Lindsey Painter, l’institutrice du petit garçon, est parmi les premières à se présenter aux tests. Mais elle n'y croit pas trop. Pourtant, quelques jours après, elle reçoit un appel : les premiers tests sont positifs. "J’ai eu un choc", dit-elle. Après une nouvelle batterie de tests, le résultat s’impose : Lindsey est bien compatible. La jeune fille ne connaît alors rien sur cette maladie, mais elle se renseigne. Elle sait que les procédures seront longues, et complexes, qu’il faudra pour le donneur environ six semaines de rétablissement. Elle a aussi deux jeunes fils. "J’ai pensé à ma famille, mais plus j’en apprenais, plus je voulais le faire", dit-elle. "Maintenant, quand je regarde mes propres garçons, je vois des choses que Matthew n’est pas capable de faire à cause de sa maladie. Il a le droit de pouvoir courir, jouer, comme tous les autres petits garçons de son âge."

    "Elle fait partie de la famille maintenant"

    Elle dit oui. L’opération est prévue pour la mi-mars. Ce sera la seconde pour Matthew : à l’âge de trois ans, en 2010, il avait déjà reçu un rein, d’une personne décédée. Mais l’an dernier, son corps l’avait rejeté. Le fait que l’organe vienne d’un donneur vivant augmente les chances d’assimilation par le corps. Quand il a appris la nouvelle, Matthew a sauté de joie. Et a pris son institutrice dans ses bras. "Elle me rend toujours heureux quand je la vois, c’est une super professeur", raconte-t-il. "Je veux que tout le monde sache quelle importance elle a pour moi et ma famille. Elle en fait partie maintenant." (source : Metroniews du 25 02 2015)


    1 commentaire
  •  

     On a tout intérêt à prendre soin de nos intestins . En effet , notre système digestif assure de nombreuses fonctions indispensables pour notre organisme .

     Vous pensiez que tout se passait dans la tête ? C'était sans compter sur le rôle central du système digestif . sa complexité et son importance pour notre santé ont été confirmées par de nombreuses études au cours de ces dernières années , au point que les scientifiques le considèrent comme un << deuxième cerveau >> . 

    Des millions de neurones au creux du ventre

     Si on lui attribue ce titre , c'est d'abord parce que le tube digestif est tapissé de millions de neurones . Pas autant que ceux qui font fonctionner notre cerveau ( ils se comptent par milliards ) , mais le chiffre est impressionnant quand même : pas moins de 100 millions . Ce sont par exemple ces neurones qui lui permettent de bouger et de se contracter pour effectuer correctement le travail de digestion des aliments absorbés .

    Ceux situés dans notre muqueuse intestinale participent également à la bonne absorption des nutriments que nous avalons au quotidien ; grâce à eux , nous profitons de vitamines , minéraux et autres carburants présents dans notre alimentation , d'où l'importance de mangé équilibré.

    Mais les fonctions de ce dispositif ne s'arrêtent pas là .

    Un bouclier qui assure notre défense

     Le système nerveux qui entoure nos intestins est également notre moyen de défense numéro un face aux agressions extérieures du type bactéries , virus ou parasites .

    Les experts estiment , en effet que 70 à 85% des cellules du système immunitaire se trouvent dans et autour des intestins . Surtout , le système digestif sert de réseau d'alarme .

    Une bactérie ou un virus ennemi en vue ? Ce dernier envoie illico un message d'alerte au cerveau et déclenche les mécanismes de défense pour s'en débarrasser au plus vite ( diarrhée, vomissement...) 

    Le  << porte-parole  >>  de la tête

     On l'a tous observé ; nos intestins parlent souvent pour nous quand ça ne va pas . Un stress ou un trop plein d'émotions , et c'est le ventre qui trinque : douleurs , transit perturbé, ballonnement ... Les expressions ne manquent d'ailleurs pas pour illustrer ce phénomène  << avoir une boule au ventre >>, << avoir du mal à digérer quelque chose >> , << ça me gonfle >>.

    Voilà pourquoi il suffit souvent d'agir sur ce qui se passe dans la tête , et en premier lieu sur le stress , pour voir s'envoler  douleurs et soucis digestifs. De nombreuses études scientifiques récentes montrent les bénéfices  de la relaxation , du yoga ou de l'activité physique sur les problèmes abdominaux  ( des crampes digestives aux maladies du type syndrome de l'intestin irritable ).

    Nous avons là le signe que notre état psychologique et notre système digestif sont intimement liés . Mais si l'on connaît l'impact du cerveau sur notre activité organique , on sous-estime souvent la relation inverse .

    Nos kilos en trop ... pourraient venir du ventre

     Nous ne sommes pas tous égaux face à la prise de poids . Plusieurs études récentes montrent que la flore intestinale est différente chez les personnes minces et chez celles en surpoids ou obèses.

    Les kilos en trop sont souvent associés à une flore moins variée et certaines bactéries en excès pourraient favoriser le stockage des graisses .

    Des scientifiques de l'INSERM viennent aussi de montrer qu'un système nerveux entérique perturbé (notamment par une alimentation trop riche en sucres ou en graisses ) pourrait favoriser l'obésité . Des pistes à explorer pour enrayer la prise de poids . 

    Un message essentiel

     Tout comme notre cerveau principal , le tube digestif est un grand communiquant ; il sécrète en effet une vingtaine de neurotransmetteurs , issus de la transformation des bactéries de l'intestin . Il produit par exemple de la dopamine , mais aussi 95 % de la sérotonine de notre corps . Or , ces deux neurotransmetteurs jouent un rôle essentiel dans l'organisme , en véhiculant jusqu'au cerveau des messages de bien-être .

    Les études montrent qu'une sécrétion suffisante permet par exemple de mieux résister au stress ou de lutter contre la dépression ! Un moral en berne pourrait donc venir aussi ( en partie ) d'un intestin qui tourne au ralenti ...ou d'une flore perturbée . 

    Une flore à protéger

     Les millions de bactéries qu'abrite notre système digestif fascinent en effet les chercheurs ; ce micro biote ( ensemble de micro-organismes ) semble être un élément clé dans la communication entre l'intestin et le cerveau .

    Certaines études menées sur des souris montrent qu'une modification de la flore pourrait jouer sur l'état psychologique du sujet et, par exemple, augmenter ou diminuer le niveau d'anxiété . Plus intéressant encore , il a été observé qu'un déséquilibre de cette flore intestinale est souvent lié à l'apparition de maladies comme  l'asthme , l'autisme , l'obésité ou de troubles neuro dégénératifs comme Alzheimer ou Parkinson .

    Reste à expliquer la nature de ce lien : cause à effet ou relation plus complexe ? Notre ventre n'a pas encore livré tous ses secrets ...  

    L' avis de l'expert

     

    Le ventre , notre deuxième cerveau (2/2) .

    Pourquoi considère-t-on notre ventre comme un << deuxième  cerveau ?

     Parce qu' il abrite des centaines de millions de neurones qui ressemblent à ceux du cerveau principal , avec des fonctions propres . Et surtout parce que l'on sait désormais qu'il existe un vrai axe intestin-cerveau .

    Les messages qui partent de l'intestin peuvent avoir un impact sur la chimie du cerveau et modifier , par exemple notre humeur .

    Quel impact ont ces découvertes sur notre santé ?

     L'obésité pourrait être en partie liée à un micro biote dont la diversité est altérée . Et dans certaines maladies considérées comme non intestinales , le rôle du système nerveux de l'intestin semble essentiel .  

    Que peut-on faire pour protéger sa flore et ses intestins ?

     La flore se constitue dans les trois ou quatre premières années de la vie .Et ce qui compte  pour être en bonne santé , c'est surtout d'avoir un micro biote diversifié . Il est donc utile de rappeler que les antibiotiques ne doivent être donnés aux enfants que lorsque cela est vraiment nécessaire  , au risque de réduire la diversité des bactéries  intestinales .

    Il faut voir une alimentation la plus variée possible , avec notamment une quantité suffisante de fruits et légumes pour les apports en fibres , qui sont essentiels . ( source : télé-loisirs )

     


    2 commentaires
  • Deux traitements existent aujourd’hui pour un patient dont les reins n’assurent plus leur rôle d’épuration. Ainsi les malades touchés par une insuffisance rénale terminale peuvent-ils bénéficier de la dialyse, ou d’une greffe. La technique consistant à prélever un rein sur donneur vivant serait plus efficace. Explications.

     

     

     

    « La greffe est le meilleur traitement de l’insuffisance rénale chronique terminale, surtout si le rein greffé provient d’un patient en vie », rappelle l’Agence de la Biomédecine, à l’occasion de la Journée européenne du don d’organes et de la greffe, organisée ce 11 octobre 2014.

     L’an dernier, 3 074 patients ont pu bénéficier d’une greffe, 401 reins ont été prélevés chez un donneur en vie. « Soit 13% du total des greffes rénales réalisées cette année-là. Contre 12,3% par rapport à 2012 », indique l’Agence de la Biomédecine. Un progrès dû à l’augmentation « des dons de conjoints (+ 111%) et de frères et sœurs (+69,5%) des malades ». 

    Anticiper la démarche

     En 2013, sur les 14 336 patients en attente d’un rein, seuls 21,4% ont effectivement pu être greffés dans l’année. La greffe rénale à partir de donneur vivant est « souvent ignorée des patients et de leurs proches, parfois peu proposée par certaines équipes médicales ».  Et pourtant comme le rappelait les auteurs du plan greffe 2012-2016, cette technique permet : 

    • Des délais d’attente raccourcis. En moyenne, un patient attend un an avant de bénéficier d’une greffe de rein à partir d’un donneur décédé. Pour un donneur vivant, la greffe est possible dans des délais beaucoup plus courts, en particulier pour les malades qui possèdent un groupe sanguin rare. Or au stade terminal de la maladie, anticiper la transplantation « permet de meilleurs résultats d’espérance et de qualité de vie » ;
    •  
    • Des passages moins fréquents par la dialyse. Ce traitement lourd et contraignant impose aux patients d’être hospitalisés 3 jours par semaine pour 4 heures de séance de dialyse quotidienne. « Le recours à un donneur vivant permet de raccourcir cette période de dialyse, voire de la supprimer », souligne l’Agence de la Biomédecine ;
    •  
    • Des greffons plus efficaces… plus longtemps. Les conditions de transplantation sont bien meilleures lorsque le prélèvement est effectué à partir d’un donneur vivant. Greffé sans délai, le nouveau rein reprend efficacement et rapidement ses fonctions d’épuration. Ainsi dix ans après la greffe, 77% des greffons prélevés sur donneur vivant continuent de fonctionner, contre 63% pour les greffes à partir de donneur décédé.

     Qui peut donner ? Les personnes en bonne santé, majeures, ayant un lien familial avec le patient, peuvent effectuer un don. Et depuis 2011, la loi de bioéthique autorise aussi toute personne en mesure de « fournir une preuve de lien affectif étroit et stable, depuis au moins deux ans avec le receveur », à donner l’un de ses reins. Rappelons que cette démarche nécessite une réflexion de la part du patient et de son entourage. « Informer les malades et leurs proches le plus tôt possible permet au donneur potentiel et au receveur de mûrir progressivement leur décision », rappelait à ce sujet la Haute Autorité de Santé en juin 2012. ( source : ladepeche.fr  du 10 10 2014 )

    Pour aller plus loin :

    Consultez le site www.dondorganes.fr, Facebook « Don d’organes, je le dis » et Twitter @ag_biomedecine.


    1 commentaire
  •  

    Comment nettoyer  son foie naturellement

    D'abord, c'est le plus gros organe solide du corps humain. Situé dans l'abdomen, il joue un rôle de filtre. En recevant 1,5 litres de sang par minute, il élimine entre autres les toxines pour purifier le flux sanguin de toute substance nocive.

     C'est pourquoi, il faut prendre bien soin de son foie et l'épurer régulièrement à son tour pour rester en bonne santé.

     • Les excès d'alcool et de caféine ne sont pas recommandés pour le foie. Préférez l'eau qui hydrate les organes et les détoxifie !

     • Consommez du citron tous les jours car cela stimule la production de la bile et permet au foie de se régénérer

     • Misez sur le thé vert qui regorge de catéchise, une substance antioxydants, reconnue pour ses bienfaits anti-cancer

     • Mangez de l'ail mais aussi de l'avocat et du curcuma qui sont riches en allicine et du sélénium qui débarrassent le foie de tout excédent de toxines

     • Croquez dans des fruits et faites le plein de jus car ils renferment des acides bons pour la santé et protègent le foie de l'hépatite et de la cirrhose


    3 commentaires
  • Pour augmenter le nombre de dons, l’Agence de biomédecine a autorisé le prélèvement des organes « à cœur arrêté » dans les services de réanimation

     

    Greffe d’organes : les prélèvements « à cœur arrêté » autorisés

    Il y a pénurie d’organes. Depuis plusieurs années, le nombre de demandeurs augmente plus vite que celui des donneurs, et le décalage ne cesse de s’accroître. Pour inverser la tendance, l’Agence de biomédecine a donc décidé d’autoriser le prélèvement d’organes « à cœur arrêté ». Un tournant majeur en France, un pays qui s’est toujours montré réticent à ce type de pratique, alors que la législation l’autorise depuis près de dix ans.

    Avoir un encéphalogramme plat

     Très pratiqué dans de nombreux pays, le prélèvement « à cœur arrêté » consiste, comme son nom l’indique, à prendre un organe sur une personne dont le cœur vient de s’arrêter. En France, on s’y refuse : pour être prélevés, les donneurs doivent avoir un encéphalogramme plat, signe que la personne n’a plus aucune activité cérébrale. En revanche, le cœur doit continuer à battre - ce qui limite forcément le nombre de donneurs.

     La raison de ce refus est avant tout médicale. On estime que les greffons sont de mauvaise qualité, dès lors que le cœur s’est arrêté. Mais les progrès de la médecine et les études ont montré l’efficacité de cette opération, poussant l’Agence à réfléchir à un protocole afin de faire évoluer les pratiques et les mentalités.

    Une nouvelle population de donneurs

     Depuis 2005, toutefois, la loi autorise le prélèvement « à cœur arrêté », mais il s’applique uniquement dans le cadre extrahospitalier. Les équipes médicales ont ainsi 140 minutes pour prendre un organe après le décès du donneur, suivant un protocole très technique et contraignant. Une centaine de greffes de reins se font chaque année par ce biais.

     Mais il en faut davantage. L’autorisation de l’Agence de la biomédecine vise cette fois une autre population de donneurs : les patients en soin de réanimation depuis quelques jours, dépendants des appareils (ventilation artificielle…) et sur lesquels les soins thérapeutiques ne montrent aucune efficacité. Les personnes en état de coma chronique ou végétatif ne sont donc pas concernées.

    Des questions éthiques

     Mais ici entre en compte l’éthique. Va-t-on accélérer l’arrêt des soins pour pouvoir prélever ? Voire refuser de réanimer pour augmenter le nombre de dons ? La question est au cœur du protocole décidé par l’Agence, qui s’est efforcée de mettre en place des garde-fous.

     « Les activités de réanimation et celles de prélèvement sont bien distinctes, explique Olivier Bastien, directeur du prélèvement à l’Agence de la biomédecine. La décision d’arrêt des soins relève uniquement du service de réanimation, selon le principe de collégialité, en consultant la famille et les proches. Ce n’est que dans un deuxième temps que la question du don d’organes se pose. Alors, on se renseigne auprès de la famille pour connaître les volontés du patient ».

    Une hausse de 10 à 20 % du nombre de donneurs

     Une fois que la décision d’arrêter les soins est prise, l’équipe médicale « débranche » le patient. « Il doit y avoir un délai de cinq minutes entre l’arrêt du cœur et le début des opérations de prélèvement », poursuit Olivier Bastien. Puis, les équipes ont trois heures pour prélever les organes, « sinon, la phase agonique les abîme trop ».

     Mais l’Agence insiste sur le point : « il n’y aura pas de modification ni d’accélération de la décision d’arrêter les soins ». De plus, elle se refuse à établir un objectif chiffré en terme d’augmentation du nombre de donneurs potentiels. « Nous ne voulons pas donner l’impression que nous avons une politique du chiffre. Il faut communiquer et rassurer les populations sur ce sujet très sensible ».

     Ces nouvelles pratiques débuteront dans quelques centres pilotes et concerneront surtout des greffes de reins. Selon le journal Libération, elles pourraient se traduire par une hausse de 10 à 20 % du nombre de donneurs. ( Source : pourquoidocteur.fr | Mercredi 24 Septembre 2014 )

    1 commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires