• Elle attaque les poumons, le coeur et le cerveau .Pourtant les Français en ont légalement acheté et consommé en 1973  soixante-douze milliards de doses .

     

     A première vue , cette mère de deux jolies adolescentes aurait pu passer pour leur soeur . Mais c'était hier . Aujourd'hui , on a sous les yeux une vision de cauchemar : un corps nu sur une table d'autopsie , le torse ensanglanté, le visage attrocement défiguré . Le cuir chevelu scalpé et rabattu en arrière découvre une cavité où autrefois fonctionnait un cerveau . Une tumeur cérébrale est la cause du décès , le rapport médical l'indique .

     

     Cet homme fut un avocat éminent de la grande ville où il exerçait . Le voilà maintenant calé droit su son lit d'hôpital , le regard absent , perdu dans le vide .Dans l'éternité , en fait , car il est mort .<<défaillance cardiaque >> , porte le certificat médical .

     

     En rentrant de faire ses courses , la femme du doyen ouvre la porte du cabinet de travail de son mari  et pousse un cri . Le doyen gît dans une mare de sang ; les murs et le plafond sont constellés des débris de ce cerveau qui a tant travaillé .<<blessure par coup de feu dans l'intention de se donner la mort >> dit le procès-verbal du médecin légiste .

     

    Trois décès , trois constatations :

    tumeur cérébrale , crise cardiaque , suicide . Pourtant à l'arrière plan de ces verdicts , apparamment dissemblables , ,se dissimule une sinistre vérité ; ces trois morts sont imputables , à des degrès divers , à une même drogue que la société admet et que la loi autorise , une drogue vendue ouvertement , chaque année par milliards de doses . C'est la nicotine , contenue dans les cigarettes dont tant d'entre nous sont esclaves . N'eût été la nicotine , ces esclaves ne se seraient propablement pas produits .

     

     Dans le cas de la tumeur au cerveau , l'examen des tissus cérébraux de la jeune mère a décelé un cancer dont le type de cellules apparaît d'ordinaire dans les bronches des grands fumeurs de cigarettes. Dee là, il se répand aisément dans le courant sanguin venant des poumons , à travers les myriades de capilaires du corps , pour envahir les autres organes , le cerveau en particulier , en terrain de prédilection  de ses exploits meurtriers . Un fait à noter : cette femme était une grande fumeuse , et, comme on devait s'y attendre , la lésion originelle fut trouvée dans un de ses poumon . La mort s'ensuivit.

     

     Dans le cas de l'avocat mort d'une crise cardiaque , l'autopsie a révélé un coeur normal , sans indication de thrombose (caillot de sang ) . Mais cet homme en observation à cause de douloureuses crises d'angine de poitrine , il était interdit de fumer . Cet ordre était formel , car le <<doping>> de laicotine est en réalité un choc de nature chimique infligé aux ganglions du système nerveux autonome , ou sympathique , qui comprend les fibrilles nerveuses du coeur et des artères . Mais cet homme , incapable de résister à la tentation , avait allumé la cigarette interdite . Or , ce grand fumeur intoxiqué par la cigarette , avait un muscle cardiaque extrêmement sensibilisé à la nicotine . A ce degrè d'hypersensibilisation , un spasme des artères coronaires suffit à réduire l'apport de sang au muscle cardiaque et à perturber le rythme normal des pulsation du coeur , qui se contracte alors de façon violente et désordonnée (fibrillation ventriculaire) .

     

     Le cas du suicide était typique . Comme la notice nécrologique l'expliquait avec tact ; << la mort fut soudaine ..malde depuis quelques temps ...>> Mais laamille et les amis savaient la vérité ; cet homme avait détruit sa santé par son besoin morbide de nicotine ; cette habitude était devenue une sorte de suicide , et il n'avait pu supporter plus longtemps les tortures de l'emphysème des fumeurs . 

     

    La nicotine est, de toute évidence , une substance dangereuse . En septembre 1967 , à la première conférence mondiale sur la santé et le tabac , qui réunit 34 nations , un colloque fut organisé sur le thème : le tabagisme , l'habitude invertébré du tabac et sa pharmacologie . En conclusion , on s'accorda à déclarer que l'action probable de la nicotine <<pourrait lier l'esclavage de la cigarette aux autres formes majeures de dépendance , comme celle de l'héroïne et de l'alcool >>.

     

    bien que la plupart des fumeurs n'en aient pas conscience , le stimulant qu'ils inhalent est un alcaloïde volatil toxique (C10H14N2) classé par la pharmacologie comme poison nerveux d'une puissance telle que l'injection d'une seule goutte provoquerait une mort instantannée . En fait , on pense que l'action toxique de la nicotine cause ,chaque année , plus de décès que la )lus implacable des drogues ; l'effroyable héroïne ....

    (la suite de cet article demain) 


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  • Deux paralysés retrouvent des sensations grâce à des cellules souches

    personne en fauteuil roulant

     

    Les thérapies par les cellules souches viennent de faire un grand pas en avant. Sur trois patients paralysés suite à une fracture de la colonne vertébrale, deux ont retrouvé des sensations en dessous de la zone de fracture grâce à une injection. L'étude va être étendue à neuf autres personnes.

     

    Pas moins de vingt millions de cellules souches nerveuses par personne, c'est la dose prescrite. L'entreprise StemCells Inc a annoncé lundi que deux patients victimes d'une rupture de la moelle épinière sont parvenus à retrouver des sensations après l'injection de cellules souches. Conduite par le docteur Armin Curt à l’Hôpital universitaire Balgrist de Zurich, l'étude, toujours en cours, porte sur trois personnes.

     

    Comme l'explique les travaux, ces patients étaient paralysés depuis quatre à huit mois et ont reçu une injection de cellules souches directement à l'endroit où leur moelle épinière s'était brisée. Ces cellules proviennent d'un don de tissus cérébraux fœtaux. L'injection a ainsi nécessité l'emploi d'immunodépresseurs pour éviter les phénomènes de rejet. Or, au bout de six mois, deux des trois patients ont pu ressentir des sensations de toucher et de chaleur entre leur poitrine et leur nombril.

     

    Le docteur Stephen Huhn de chez StemCells est lui même surpris par ces excellents résultats. "Voir ce genre de changements chez des patients qui ont vraiment le pire type de lésions de la colonne vertébrale est très stimulant. Le fait que nous ayons vu des réponses à un toucher léger, la chaleur et des impulsions électriques aussi bas [par rapport à la fracture] chez deux des patients est vraiment inattendu. Ces réponses sont vraiment proches de la normale dans ces zones."

     

    "Nos résultats ont fourni de bonnes raisons de persévérer"

     

    Au vu des résultats obtenus, les chercheurs entendent poursuivre leurs travaux et neuf autres patients atteints de paralysies moins graves recevront prochainement ce traitement.

     

    Pour Stephen Huhn de StemCells, "nous devons clairement collecter beaucoup plus de données pour démontrer l'efficacité [du traitement], mais nos résultats ont jusqu'ici fourni de bonnes raisons de persévérer dans le développement clinique de nos cellules-souches pour les lésions de la colonne".

     

    Stephen Huhn a avancé plusieurs hypothèses au New Scientist afin d'expliquer ces premiers succès. Il est possible que les cellules souches aident à restaurer la myéline des nerfs endommagés. Cette substance lipidique les isole électriquement et facilite les transmissions entre les nerfs et le cerveau. Les cellules pourraient également renforcer les nerfs existant, les remplacer ou réduire l'inflammation qui entrave leur réparation.

     

    L'an dernier, la compagnie américaine Genron avait mis un terme précoce à un projet semblable. Lancé en 2010, ce qui était alors le premier essai clinique de thérapie par les cellules souches sur des humains avait fait long feu. La firme avait cité des difficultés économiques et douché les nombreux espoirs qu'elle avait suscités. (source MaxiScience  du 04 09 2012)


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  • Courgette farcie :

    1 courgette + 30 g de viande hachée + 10 g de beurre + 1 pincéede paprika + 1 pincée de sel

     

    Préparation : 10 mn         cuisson : 50 mn

     Préchauffez le four à 210° C (th 7)

     Beurrez un petit plat à four

     Lavez et coupez la courgette dans le sens de la longueur puis enlevez la chair

     Mélangez la chair avec la viande hachée , le paprika et le sel afin d'obtenir une farce homogène

     Farcissez la courgette évidée de cette farce

     Déposez dans le plat à four

     Faîtes cuire 50 mn au four .

     


    Epinards à la crème :

    180 g d'épinards + 2 C à soupe de crème + 1 Citron + noix de muscade +  sel

     

    Préparation : 15 mn       Cuisson : 25 mn

     Epluchez et lavez les épinards

     Faîtes-les cuire à la vapeur 20 mn puis hachez-les

     Ajoutez la noix de muscade et quelques gouttes de jus de citron puis salez

     Remettez  à cuire en incorporant doucement la crème

     Retirez du feu dès les premiers bouillons .


    Gratin de blé et purée de légumes :

    100 g de blé cuit + 100 g de purée de légumes au choix (broccolis, épinards, carottes , choux-fleurs  ...), + 2 C à soupe de lait de croissance + 1C à soupe de fromage blanc à 20% + 1C à soupe de pétales de maïs (type corn flakes) + 1 C à soupe de persil haché + 5 g de beurre + 1 pincée de sel

     

    Préparation : 10 mn         cuisson : 25 mn

     Préchauffez le four à 180° C  (th 6) 

     Beurrez un plat allant au four

     Intercalez couches de blé légérement salée et couches de purée de légumes

     Nappez de fromage blanc battu avec le lait

     Parsemez de la moitié du persil

     Saupoudrez le tout d es pétales de maïs réduits en chapelure et mélangés au reste de persil

     Répartissez sur loe dessus quelques copeaux de beurre

     Faîtes dorer pendant 10 mn au four

     

    Petit plus :

    Vous pouvez remplacer la semoule de blé par des graines de couscous , des pommes de terre ou des petites pâtes .

     


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  •  

     camille-et-sa-maman-agnes-

    Camille et sa maman, Agnès. Cette dernière a pu prendre un congé grâce à une allocation journalière de présence parentale, afin d’accompagner Camille, suivie tous les mois depuis sa greffe. Photo F. D.-P.

     

    Camille Vacheresse, 19 ans, a été greffée cœur-poumon le 1 er juin. Cette battante à l’allure d’adolescente reprend peu à peu une vie normale, chez elle à Perrex (01).

     

    C’est le combat d’une vie, le combat pour la vie. Si aujourd’hui elle a 19 ans, Camille n’a pas connu une enfance sereine. Depuis ses tout-premiers jours, elle se bat pour rester en vie. Et son combat a fini par payer, grâce à une greffe qui lui a redonné un second souffle.

     

    Alertés par une faible alimentation et des cyanoses, les médecins lui font passer des examens et détectent une malformation du ventricule gauche, trop petit pour que la circulation du sang se fasse correctement. « Sa vie ne devait pas durer sept jours, confie sa maman, Agnès. Il y a 19 ans, c’était rare, et peu survivaient. » Camille est alors opérée d’urgence. C’est une réussite, mais la petite est déclarée souffrant d’HTAP, hypertension artérielle pulmonaire. Dès lors, une épée de Damoclès reste au-dessus de sa tête.

     

    Une greffe dans tous les cas

     

    S’en suit une vie que Camille a voulue la plus normale possible. De la danse, du vélo, l’école… Une volonté de fer. « J’ai toujours été comme ça. C’est inné. Et puis, je dois ressembler à ma sœur, elle a un sacré caractère », avoue Camille. Car ce petit bout de femme – une quarantaine de kilos – sait ce qu’elle veut et s’en donne les moyens. « Les médecins étaient heureux de la voir évoluer comme ça », note Agnès. Elle a vécu normalement jusqu’en 2009. Son taux d’HTAP est alors monté, ce qui fatiguait son cœur. Les médecins lui prescrivent alors un médicament qui n’était pas sur le marché à l’époque. « Mais on savait qu’il lui faudrait une greffe cœur-poumon. » Alors que son état se dégrade, elle est inscrite sur une liste d’attente de greffe en 2011. « De par sa taille, c’était compliqué. Il faut trouver son clone. On tolère juste deux ou trois kilos au dessus… » Tout va ensuite très vite. Après une pleurésie en janvier 2012, elle est hospitalisée en avril lors d’une visite de routine. Son cœur, fatigué, s’emballe. Elle passe donc de la liste d’attente super-urgence régionale à super-urgence nationale. « L’attente de la greffe a été très longue. À la fin, je n’y croyais plus, confie Camille. Quand je voyais arriver les professeurs, pour moi c’était fini… »

     

    Le dernier jour

     

    Elle passe donc son dix-neuvième anniversaire à l’hôpital. « On essayait de garder le sourire, mais on était spectateur de la mort de notre fille », témoigne Agnès. Surtout que la durée d’inscription sur la liste d’attente est de 15 jours, renouvelable, sur accord d’une commission, pour une semaine. Le dernier jour sera le bon.

     

    Jeudi 31 mai, à 17 h 35, le professeur annonce la bonne nouvelle : des organes correspondent. À 20 heures, Camille arrête ses médicaments. À 23 heures, elle est lavée et à minuit et le quart, elle part pour le bloc. « J’ai éprouvé un sentiment que je n’ai pas encore réussi à décrire, explique Agnès. J’avais peur, j’étais contente, impatiente… » Camille, elle, savait au plus profond d’elle-même « que ça allait bien se passer. Je disais que rien n’était grave, même quand ça l’était ». Une attitude qui l’aidera à passer l’après-greffe.

     

    « Avec sagesse »

     

    Après « la nuit la plus longue » qu’a connue la famille, c’est le début d’une autre histoire. « C’est dur d’être intubée. Je ne pouvais rien faire. » D’autant plus qu’elle pesait 24 kg à la sortie de l’opération. Il a fallu tout réapprendre, même les gestes les plus simples, comme écrire. Le plus dur, ne pas pouvoir parler à sa famille quand ça n’allait pas. « C’est pour ça que je voulais me remuscler au plus vite. » Et la ténacité de ce petit bout de femme paye encore. Deux mois et demi après sa greffe, elle arrive à parcourir 1 km à vélo. « Ça a surpris tous les médecins ! » Et elle tient à aller de l’avant. Elle attaque le code de la route en vue de passer son permis, veut faire une formation pour devenir animatrice en décoration. Sans pour autant surestimer ses capacités physiques. « Elle profite en sagesse, de chaque petit moment. La vie de Camille a commencé le 1 er juin 2012. » 

    (source : le journal de sâone et Loire , édition de mâcon du13 09 2012 par Fanny Dutel-Pillon )


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  • red concomber
    Cucumber spécial : (6 pers)
    1 concombre
    5 cl de jus de citron
    1 C à soupe de sucre
    1 l de bitter lémon
    1/2 l d'eau gazeuse
     Eplucher le concombre puis le couper en rondelles
     Le mettre dans dans une coupe à punch
     Ajouter le sucre et le jus de citron
     Laisser macérer 2 à 3 heures au réfrigérateur
     Au moment de servir ajouter le better lemon et l'eau gazeuse

    Red concomber : (6 pers)
    1 concombre
    40 g de sucre
    canelle
    1l de jus de raisin
    1/2 l d'eau gazeuse
     Mettre le concombre coupé en rondelles dans une coupe à punch
     Ajouter le sucre , la canelle etle jus de raisin
     laisser reposer 3 h au frais
     Ajouter l'eau gazeuse au moment de servir .
     
     

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  •  

                   

    On se souvient qu'une des grandes avancées de la loi de bioéthique révisée en 2011 était l'autorisation en France des dons croisés.

     

    Au contraire de l'élargissement du cercle des donneurs vivants de rein aux ami, qui était applicable immédiatement, les dons croisés nécessitaient la publication d'un décret d'application. Il aura fallut plus d'un an pour qu'il soit publié, mais c'est désormais chose faite.

     

    Voir le décret n° 2012-1035 du 7 septembre 2012 relatif au prélèvement et à la greffe d'organes publié au JO n° 210 du 9 septembre 2012.

     

    Plus rien ne devrait désormais s'opposer à ce que des programmes de dons croisés voient le jour en France, comme c'est le cas dans la plupart des pays médicalement développés.

     

    A une limite près : le texte français limite le dispositif à deux couples donneur-receveur... Pour le moment, la mise en oeuvre de chaînes de dons, qui permettent d'optimiser le nombre de greffes réalisées, n'est donc pas envisageable dans notre pays. (source : renaloo.com)

     

    Mis à jour le dimanche, 09 septembre 2012 10:25 - Écrit par Yvanie le dimanche, 09 septembre 2012 10:25


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  • Les XIVe Jeux paralympiques ont pris fin dimanche à Londres. Une édition marquée par un grand succès populaire, avec une fréquentation en large hausse par rapport à Pékin, et par la razzia de la Chine qui a cumulé 231 podiums dont 95 médailles d’or. La France se contente de huit titres et de la 16e place du tableau des médailles.

     

    La France loin du compte
    16 médailles d’or. Tel était l’objectif assigné à l’équipe de France paralympique par Damien Seguin, le porte-drapeau de la délégation tricolore. Au terme des 12 jours de la compétition, la France doit se contenter de la moitié de ce butin, huit titres ramenés par Assia El-Hannouni (x2), Mandy François-Elie, Marie-Amélie Le Fur, Souhad Ghazouani, Elodie Lorandi, Charles Rozoy et Cédric Fèvre-Chevalier. A ces médailles d’or, s’ajoutent 19 breloques en argent et 18 en bronze pour un total de 45 podiums. Insuffisant pour faire son retour dans le Top 10 du tableau des récompenses comme l’espérait la France, la faute à un nombre trop limité de titres (la France est huitième au classement des podiums mais seulement 16e du tableau des médailles). Loin de la moisson gargantuesque de la Chine, qui a cumulé 231 récompenses, presque autant que la Russie (102 médailles) et la Grande-Bretagne (120 médailles), ses deux poursuivants au classement réunis. Des Chinois qui ont raflé la bagatelle de 95 médailles d’or contre 36 « seulement » à la Russie ! Une véritable razzia…

     

    Un vrai succès populaire
    Retransmis dans plus de pays que lors des précédentes éditions, les Jeux Paralympiques ont battu cette année un autre record qui en dit long sur l’intérêt grandissant du public pour les disciplines handisport: celui du nombre de billets vendus. Plus de 2,7 millions de places ont trouvé preneur à Londres. "Pour mettre cela en perspective avec les précédents Jeux, nous avons vendu 900.000 billets de plus qu'à Pékin, ce qui est incroyable", s’est félicité Xavier Gonzalez, directeur du comité international paralympique. Selon Paul Deighton, directeur du comité d'organisation (LOCOG), les recettes totales s'élèveront à 45 millions de livres sterling (soit 56,8 millions d'euros), un chiffre supérieur à l'objectif de 35 millions de pounds (44,24 millions d'euros) qu’il s’était fixé. Un véritable succès populaire qu’il attribue en partie au prix abordable des entrées, dont plus de la moitié était disponible pour 10 livres ou moins, les trois quarts à moins de 20 livres et 95% à moins de 50 livres. A Rio, qui accueillera l’événement en 2016, de suivre cet exemple.

     

    Pistorius finalement récompensé
    Il aura finalement eu droit à son tour d’honneur. Plus tard que prévu, mais il n’en aura été que meilleur. Battu sur 100m, ce qui n’était pas réellement une surprise, puis sur 200m par le Brésilien Alan Oliveira, Oscar Pistorius aura dû attendre le 400m pour décrocher la médaille d’or promise. Alan Oliveira, ce sprinteur brésilien dont Pistorius avait jugé les prothèses un peu trop longues après sa démonstration sur 200m, aura dû se rendre à l’évidence: le Sud-africain, qui avait échoué en demi-finale des Jeux Olympiques dans ce même stade olympique de Londres, est intouchable sur la distance, couverte en 46’’68, nouveau record paralympique. Les Américains Blake Leeper et David Prince, 2e et 3e, ne s’en sont pas même approchés.Cette victoire a été saluée comme il se doit par le public anglais, qui lui a rendu un vibrant hommage, comme pour mieux lui faire oublier ses Jeux qui resteront globalement décevants. Car Pistorius, par le combat qu’il mène, occupe aujourd’hui à 25 ans une place à part dans le paysage du sport paralympique.

    Oscar-Pistorius 

     

    Zanardi, de la F1 aux paralympiques
    C’est l’une des belles histoires de ces Jeux. Ancien pilote de F1 (91-94 et 99), Alessandro Zanardi a raflé deux médailles d’or en cyclisme handisport (H4), en contre-la-montre individuel et en course en ligne, le tout agrémenté d’une breloque en argent, dans la compétition par équipes. A 45 ans, l’Italien marque là l’un des tours de force de la quinzaine, lui qui, le 15 septembre 2001, en course de CART, sur le circuit du Lausitzring en Allemagne, a vu sa vie basculer. Percuté de plein fouet par une voiture concurrente à plus de 320km/h, le pilote transalpin voit sa voiture coupé en deux, ses jambes arrachées et perd près de 70% de son sang. Sept arrêts cardiaques et cinq jours de coma plus tard, il survit, et ouvre la deuxième page de sa vie.C’est en 2007, et alors qu’il continue de piloter occasionnellement, qu’Alessandro Zanardi découvre le cyclisme handisport, où les athlètes doivent faire avancer le vélo uniquement à la force des bras. "Avant l’accident, je regardais avec compassion les gens qui étaient comme je le suis aujourd’hui. Pour moi, il était impossible d’avoir une vie heureuse sans un corps parfait. C’était faux. Si le point de choc s’était situé 30 cm en arrière, j’étais mort. Alors aujourd’hui, oui, je veux vivre avec intensité", avait-il lancé après son accident. Cet été, du côté de Londres, il a sans doute réussi une grosse partie de son pari… (source orange.fr) 


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  • Hannah Clark a maintenant seize ans. Elle est considérée comme guérie.

     

    Après un repos de dix ans, le cœur d’une adolescente galloise de seize ans s’est remis en marche, prenant le relais de son cœur greffé. En pleine santé, la guérison inattendue d’Hannah Clark permet aux médecins d’envisager des nouvelles techniques de guérison.

    Hannah-Clark 

     

     A l’âge de huit mois, les médecins diagnostiquent chez Hannah une forme grave de cardiomyopathie, une défaillance cardiaque qui met en péril la vie de la jeune fille.

     

    A deux ans, elle est opérée par le pionnier britannique des greffes pulmonaires et cardiaques, le Pr Magdi Yacoub, du Collège impérial de Londres, qui installe dans sa poitrine le cœur d’un donneur.

     

    Mais, exceptionnellement, il laisse son cœur malade en place et le met au repos. Le cœur greffé vient donc comme un soutien à l’organe malade et l’aide à pomper le sang.

     

    Un cycle infernal

     

    Mais le sort s’acharne contre la fillette. En août 2001, les médicaments qui lui sont administrés afin d’éviter que son système immunitaire ne rejette l’organe lui provoquent un cancer.

     

    Les deux cœurs d’Hannah fonctionnent, mais le cancer progresse et met en danger la vie de la jeune fille. Les chimiothérapies parviennent à contrôler maladie, mais le cancer réapparaît en 2003. Hannah reprend un traitement anti-cancéreux et les médicaments anti-rejets sont diminués.

     

     En 2005, les médecins constatent que son cœur greffé montre des défaillances. Il faut sortir de ce cycle infernal.

     

    Alors que le cœur naturel d’Hannah semble s’être auto régénéré, les médecins tentent une première mondiale : lui enlever son greffon.

     

     En 2006, le Pr Magdi Yacoub codirige l’équipe chirurgicale. Son père Paul, se souvient encore quand l’infirmière du London’s Great Ormond Street Hospital lui a dit que «sa fille n’avait plus que douze heures à vivre».

     

    Ce à quoi il a répondu «Croyez ce que vous voulez, et moi ce que je veux». Et il a eu raison. L’opération inédite a fonctionné, son cœur bat et son cancer a disparu cette année.

     

    Cette première mondiale a permis de développer des cœurs artificiels temporaires pour d’autres enfants souffrant de cardiomyopathie. Les médecins, qui ont attendu la guérison totale d’Hannah avant de révéler son histoire, espèrent que ce rétablissement permettra d’augmenter le nombre de donneurs d’organes.

     

    Aujourd’hui âgée de seize ans, Hannah Clark a retrouvé une vie d’adolescente comme les autres et vient d’obtenir son General Certificate of Secondary Education.

     

     Loin des hôpitaux, elle savoure sa nouvelle vie «normale». Elle prépare ses vacances à la mer, travaille dans un chenil pour se faire de l’argent de poche et espère retrouver le chemin de l’école dès la rentrée prochaine.  

    ( source :paris match du16 juillet 2012 - Johanna Hamselen Parismatch.com )


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  • Je vous propose cette recette LIDL en entrée de salade d'asperges , vinaigrette moutardée et croustillant de queues de crevettes

     

    salade d'asperges

    Ingrédients : (6 pers)

    2 kg d'asperges

    1 kg de queues de crevettes

    feuilles de brick

    Pour la vinaigrette : 

    1 C à soupe de moutarde

    1/2 oignon haché

    1 petite botte de ciboulette

    1 oeuf

    5 cl d'huile

    3 cl de vinaigre doux

    2 c à soupe d'eau

     

    Préparation : 40 mn

     

     Eplucher les asperges , les cuire dans de l'eau sucrée/ salée à hauteur pendant 20 mn

     Les garder croquantes et les laisser tiédir dans leur eau de cuisson

     Cuire un oeuf dur (10 mn ) , le laisser refroidir

     Le couper en deux et hacher le blanc et le jaune séparément

     Réunir les éléments de la vinaigrette , mélanger le tout au fouet

     Ajouter l'oeuf haché

     Décortiquer les crevettes et les aligner par deux sur un triangle de feuilles de brick

     Rabattre les 2 coins , les rouler en cigare en les maintenant avec un pique en bois

     Les frire en friteuse ou dans une grande poêle

     Déposer harmonieusement les asperges puis les brochettes de crevettes

     Entourer d'un cordon de vinaigrette .

     

     


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  •     Papillote de veau :

    1 escalope de veau de 80 g + 10 g de beurre + 1C à café de fines herbes hachées + 1 tranche de fromage kiri + huile

     

    Préparation : 10 mn          Cuisson : 15 mn

     Faîtes cuire dans le beurre l'escalope sur les deux faces dans une poêle à feu doux pendant 5 mn

     Egoutez le beurre de cuisson et coupez l'escalope en minces lamelles

     Préchauffez le four à 210°C (th 7)

     Huilez un morceau rectangulaire de papier aluminium

     Déposez les lamelles de veau au milieu du papier

     Placez les fines herbes hachées et le morceau de fromage

     Enfermez la préparation en papillote

     Mettez au four 10 mn

     Laissez refroidir un peu avant de servir


    Champignons aux oeufs :

    1 oeuf + 1noisette de beurre + 50 g de champignons + 100 ml de lait + 1 pincée de sel

     

    Préparation : 10 mn        Cuisson : 20 mn

     Préchauffez le four à 180° C (th 6)

     Nettoyez soigneusement les champignons

     Faites-les suer  dans une poêle puis hachez -les

     Battez l'oeuf en omelette puis salez

     Ajoutez les champignons et le lait

     Versez dans un ramaquin légérement beurré

     Faîtes cuire 20 mn dans le four au bain-marie  

     


    Filet d'aiglefin en gratin :

    30 g de filet d'aiglefin + 100 g de fromage blanc +  1 noisette de beurre + 1 oeuf + 15 g de gruyère râpé + noix de muscade + sel

     

    Préparation : 15 mn        Cuisson :  20 mn

     Préchauffez le four à 210)C (th 7) 

      Battez le fromage blanc avec le jaune d'oeuf , le gruyère , un peu de sel et de noix de muscade

     Montez le blanc d'oeuf en neige et incorporez le mélange

     Dans un plat à soufflé beurré , disposez la moitié de la préparation

     Déposez le filet d'aiglefin et recouvrez avec le reste de la préparation

     Faîtes cuire à four chaud pendant 15 mn

     Servez modérément chaud .

     


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