• Questions : Réponses 10

    (Source : Equilibre N° 306 ; Réponses du DR Helen Mosnier-Pudar  d'après la collection << 1000 et une questions >>)


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  • La véritable salade niçoise ne comporte aucun légume cuit, uniquement des crudités . Pas de vinaigre non plus, seulement de l'huile d'olive .

    Ingrédient pour : 4 personnes

    Salade niçoise

    Disposez un lit de mesclun dans le fond d'un saladier

    Garnissez avec les tomates coupées en rondelles

    Ajoutez dans l'ordre: les cébettes, les radis, et la branche de céleri coupée en morceaux , les fonds d'artichauts émincés, le poivron coupé en lamelles , les févettes .

    Décorez avec les œufs durs coupés en quartiers , les anchois ou le thon

    Saupoudrez de basilic ciselé et d'olives niçoises

    Salez et poivre et terminez par un filet d'huile d'olive

    Remuez juste au moment de servir .

    Le petit plus

    Vous pouvez ajouter des tranches de concombre et du fenouil en lamelles , frottez les assiettes avec une gousse d'ail épluchée .

    En dehors de la saison des cébettes , remplacez par un oignon rouge émincé .(Source : Equilibre, bien vivre son diabète N° 294 )


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  • Questions : Réponses 9

    (Source : Equilibre N° 306 ; Réponses du DR Helen Mosnier-Pudar  d'après la collection << 1000 et une questions >>)


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  • Questions : Réponses 8

    (Source : Equilibre N° 304 ; Réponses du DR Helen Mosnier-Pudar  d'après la collection << 1000 et une questions >>)


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  • La gastronomie bretonne est célèbre surtout par ses recettes traditionnelle de crêpes et galettes , de gâteaux comme le far, le kouign-amann , sans oublier le quatre quarts , ainsi que sa multitude de biscuits dont le palet  breton, les crêpes dentelle, le tout évidemment accompagné de cidre .Parmi les spécialités , il convient de mentionner la célèbre andouille de Guénémé , mais aussi le kig-ha-farz , sorte de pot-au-feu breton , le beurre salé .

    Menu breton

    La Bretagne , où terre et mer se marient , est une région de nombreux produits frais : poissons, coquillages , crustacés, quantité de légumes : artichauts, chou-fleur, chou vert, ail rose, pomme de terre ...

    Menu breton

    Menu breton

    ( Source : équilibre bien vivre son diabète ; mars-avril 2015 N° 304)


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  • Ingrédients pour : 4 personnes

    Cordon bleu du ch'ti

    Confectionnez une béchamel épaisse (voir ingrédients ). Pour ne pas faire de grumeaux , versez le lait chaud sur un roux froid ou inversement , puis réservez .

    Ouvrez les escalopes en portefeuilles .

    Tartinez les à l'intérieur avec la béchamel .

    Salez et poivrez .

    Mettez 20 g de mimolette en petits morceaux au centre de chaque escalope .

    Refermez les escalopes sur elles-mêmes .

    Bridez les escalopes pour un meilleur maintien à la cuisson .

    Panez les escalopes à l'anglaise (farine , œuf battu, chapelure de spéculos ). 

    Cuisez au four sur une feuille de cuisson à 470°C pendant environ 15 à 20 mn .( Source : TV avantage)

     


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  •  Questions : Réponses 7

    (Source : Equilibre N° 304 ; Réponses du DR Helen Mosnier-Pudar  d'après la collection << 1000 et une questions >>)


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  • Questions: Réponses 6

    (Source : Equilibre N° 303 ; Réponses du DR Helen Mosnier-Pudar  d'après la collection << 1000 et une questions >>)


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  • Grandir avec une mère diabétique !

    Où de l'ambiguïté d'endosser une responsabilité d'adulte quand on est enfant

    Depuis tout petit ...

    A la maison , la famille , c'était ma mère et moi. Je n'ai ni frère , ni sœur et mon père est mort sur la route un jour de fin d'été sous un ciel ensoleillé . J'avais alors 8 ans . A cette époque , j'ai pris réellement conscience de la maladie de ma mère . Par la force des choses , j'ai été confronté à sa réalité quotidienne . Ma mère m'a très vite appris ce qu'il fallait faire en cas de malaise hypoglycémique , par exemple. Je crois que j'en ai été assez flatté .J'avais 10 ans et on comptait sur moi !

    << Les rôles furent inversés . >>

    Ce 'est qu'avec le recul des années que je peux en mesurer tous les effets parfois pervers , et c'est précisément cette réalité nouvelle qui , dans mon cas , allait se révéler au centre des problèmes posés pour un enfant de mère diabétique insulinodépendante . J'étais , en cas de problème le responsable et en quelque sorte l'autorité . J'étais important , peut-être même vital . De ce fait , dans les premiers temps et sans pour autant le réaliser , le besoin d'attention que j'éprouvais s'en trouvait satisfait alors que , me semble-t-il , je n'étais que le véhicule qui permettait de pourvoir aux soins nécessaires à ma mère , de lui donner toute l'attention dont elle avait besoin . Aussi soudainement que survint la mort de mon père , les rôles attribués par les lois de la nature furent inversés , et j'étais bien trop petit pour assumer cette situation , psychologiquement parlant . Mais comment faire ? Nous n'allions tout de même pas vivre avec un infirmière à demeure !

    << J'en tirais une certaine fierté . >>

    Manquer parfois l'école , savoir faire la différence entre les morceaux de sucre blanc à effet rapide et les féculents à action prolongée , administrer une dose de Glucagon n etc. , n'étaient que des détails techniques . Ma mère a très tôt démystifié la situation , si bien que j'ai vite maitrisé , avec aisance et presque comme un jeu cet état de chose , je n'éprouvais aucune inquiétude , aucun stress , quand elle <<basculait >> dans l'hypoglycémie . J'en étais arrivé à savoir anticiper l'arrivée d'un malaise avant qu'elle même en prenne conscience : son regard, sa gestuelle, quelque chose d'indéfinissable  J'en tirais d'ailleurs une certaine fierté , surtout en présence de mes grands-parents , toujours très inquiets et complétement dépassés .

    Par contre , j'étais assez angoissé de la savoir au volant de sa voiture. J'étais aussi concerné par l'heure des repas . La menace était constamment présente et finalement pesante . Il est vrai qu'en pratique , il n'y avait pas d'autre alternative que de compter sur moi .

    << Mais tout de même , je n'étais pas responsable! >>

    Cependant , après ces dizaines d'années de diabète , j'aurais au moins souhaité que mes grands-parents , entre autres , considèrent mes capacités de résistance psychologique , mais pour ça il aurait fallu parler et je sentais bien ce qu'on voulais entendre ... de bonnes nouvelles , pardi ! D'un côté , j'avais ma mère qui tenait à tout prix à ménager ses parents , et de l'autre mes grands-parents qui, désireux de ne pas trop la questionner , s'en remettaient à moi .Elle disait : << Quand Jean-François( voir photo) est là , je n'ai rien à craindre , il sait ce qu'il faut faire . >> Si ma mère avait un malaise en mon absence et qu'ils l'apprenaient par un biais quelconque , ils me reprochaient carrément de ne pas avoir été là . Comme si je pouvais anticiper à distance l'arrivée d'un malaise ! Comme si je n'avais pas ma propre vie de petit garçon ! Leur impuissance et leur affolement face à ces malaises contrastaient avec mes capacités . Quand par hasard j'entrais en scène , trouvant ma mère sur son petit nuage tandis qu'ils ne savaient plus quoi faire , ils étaient soulagés. Comme j'affichais une décontraction provocante un peu exprès , je me faisais houspiller . D'une certaine manière , c'était comique mais tout de même , je n'étais pas responsable !

    Au cours des années, ma mère acceptait de plus en plus difficilement les morceaux de sucre que je lui tendais lorsqu'elle avait une hypoglycémie. Devenu adolescent , j'étais de moins en moins patient. J'ai donc décidé , i elle perdait conscience , de lui administrer tranquillement du Glucagon . Mais tout cela m'était devenu pénible et ce, d'une façon étrange . J'étais presque exaspéré par cette intimité bizarre , par les rictus de Maman qui marquaient son visage .

    Et pourtant , j'aime ma mère (Source : Equilibre , bien vivre son diabète N° 298- mars-avril 2014 )


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  •  Cinq idées reçues à combattre

    Clichés, stéréotypes, lieux communs ... L' UFSBD ( Union Française pour la Santé Buccodentaire) revient en chiffres sur quelques idées qui mettent à mal toute politique de prévention en matière de prévention de santé buccodentaire .

     1 ) Les soins dentaires coûtent chers

    Les soins dentaires comprennent les soins préventifs , conservateurs ( détartrage, scellement de sillons , dévitalisation , traitement des caries , radiologie )et certains soins chirurgicaux (extractions des dents) . Ils sont pris en charge à 100 % (70 % par l'assurance maladie obligatoire et à 30 % par les assurances maladies complémentaires . Sur une consultation à 23 € , la sécurité sociale rembourse 16,10 € et la complémentaire de santé 6,90 €.

    94,7 % des français sont couverts par une assurance maladie complémentaire (y compris la CMU-C pour 5,1 %). Seuls 4,2 % ne sont pas couverts par une assurance maladie complémentaire et 1,1 % sont dans une situation indéterminée .

    En ce qui concerne les prothèses , bridges et autres appareils , ces dispositifs sont très mal pris en charge par l'assurance maladie obligatoire . La solution passe par la prévention . En consultant une fois par an son dentiste , dès le premier anniversaire de l'enfant , et en adoptant une hygiène buccodentaire rigoureuse tout au long de sa vie , le besoin de prothèses et autres appareils devrait considérablement diminuer, voire ne plus exister .

    Dents en bonne santé

    2 ) Le dentiste fait mal

    Plus d'un français sur 4  (29%) déclare , encore aujourd'hui , ne pas aller voir un dentiste tous les an par peur . Pourtant en 2015 , le temps des << arracheurs de dents >> et des << barbiers-chirurgiens >> est bien loin derrière nous ...Maintenant la douleur est encadrée et prise en charge , pendant et après la visite au cabinet dentaire . Le dentiste dispose de techniques d'anesthésie qu'il peut mettre en œuvre avant tout acte potentiellement douloureux et , si cela semble nécessaire pour gérer la douleur hors du cabinet dentaire , des antalgiques seront prescrits .Ce n'est pas le soin qui fait mal mais la pathologie buccodentaire ; carie ou maladie parodontale .

    3 ) La carie dentaire est une fatalité

    La carie est actuellement cassée par l'OMS ( Organisation Mondiale de la Santé ) au troisième rang des fléaux mondiaux . Mais si la carie touche encore beaucoup trop  de monde , elle n'est , en aucun cas, une fatalité ! En effet , la carie, maladie bactérienne , multifactorielle qui parvient à détruire la substance la plus dure du corps humain , l'émail , est pourtant évitable . L'acquisition par tous , petits et grands , d'un comportement quotidien adapté permet de prévenir l'apparition des caries . Se brosser les dents deux fois par jour pendant deux minutes , avec un dentifrice fluoré , respecter une alimentation équilibrée et faire contrôler son état dentaire une fois par an chez le dentiste dès l'âge d'un an , permettent de diminuer le risque de carie. C'est ainsi que sur les vingt dernières années , et ce grâce à une politique de prévention accrue , la prévalence de caries chez les enfants en France a chuté de moitié .

    4 ) La santé de la bouche n'a aucun lien avec la santé  générale

    Les bactéries buccales peuvent migrer par la voie sanguine dans tout l'organisme ; le cœur, les sinus, les reins, les yeux , les articulations...

    La bouche fait partie intégrante du corps , que se soit en thermes esthétiques ou en thermes de santé . En effet , la cavité buccale joue un rôle essentiel dans la mastication , la digestion, la respiration, la phonation, l'expression faciale et la réception sensorielle . Elle constitue à la fois  un miroir de la santé générale et une des premières étapes de défense de l'organisme vis-à-vis des agressions extérieures ( comme certaines bactéries par exemple ) . Certaines maladies générales (maladies cardiovasculaires , diabète ...) favorisent l'apparition , la progression ou la gravité de maladies buccodentaires . Inversement , certaines maladies buccodentaires peuvent avoir des conséquences  et favoriser l'apparition , la progression ou la gravité de certaines maladies en libérant les bactéries accumulées dans la bouche par les vaisseaux sanguins jusqu'aux organes tels que le cœur, les reins, les poumons ... Attention aussi aux plus fragiles mais également aux femmes enceintes ! L'impact d'une mauvaise santé buccodentaire sur la santé globale est d'autant plus important s'il s'agit de personnes déjà fragilisées par des pathologies ou dépendantes .

    5 ) Inutile de soigner les dents de lait car elles vont tomber

    Le risque d'avoir des caries sur des dents permanentes est trois fois plus élevé quand on a des caries sur des dents de lait . Toutes les dents se soignent , car elles ont chacune une incidence et une utilité sur le développement de la sphère buccale de l'enfant et donc du futur adulte .                                                                                          Bien qu'elles aient une durée de vie limitée (entre 6 et 12 années , selon les dents) et qu'elles soient remplacées par des dents définitives , les dents de lait définissent le visage du tout petit , guident les dents définitives pour qu'elles poussent dans la bonne position et sont essentielles pour manger et parler .                                  Attention à la carie du biberon ; quand l'enfant s'endort avec son biberon , le lait , le jus de fruit ou la boisson sucrée qu'il vient de boire  demeure dans la bouche . La salive ne peut pas faire son travail de protection des dents , les caries se développent et les douleurs apparaissent . ( Source : équilibre bien vivre son diabète ; mars-avril 2015 N° 304)

    Dents en bonne santé

                                                

     


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