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    L'alliée fraîcheur de l'été

    Avec ou sans pépins , à la pulpe rouge , rose, jaune ou blanche . Désaltérante et saine , la chair peu sucrée , gorgée d'eau et de vitamines de ce fruit fait notre bonheur tout l'été .

    Elle se coupe en quatre pour nous plaire .

    La pastèque

    L'Afrique est son berceau

    Originaire d'Afrique centrale , ce fruit , aussi appelé melon d'eau , est connu dans les contrée les plus ensoleillées depuis des millénaires . Il y a quelque cinq mille ans , es Egyptiens le cultivaient dans la vallée du Nil . Il était très apprécié lorsque l'eau e raréfiait ou était polluée. La culture de la pastèque a ensuite gagné le pourtour méditerranéen , puis toutes les régions chaudes du globe . Son nom viendrait de l'arabe , battica .C'est à partir du XVIe siècle que les botanistes décrivent des pastèque rondes ou oblongues , à chair rose , rouge , jaune ,orange ou blanche .

    Sous le soleil exactement

    Cette cucurbitacée aime la chaleur et l'eau . En France , elle s'épanouit notamment en Provence-Alpes- côte d'Azur , Guadeloupe et Guyane , même si notre pays fait partie des petits producteurs à l'échelle mondiale ( 10e rang ) ! De la famille des courges, la pastèque est une plante rampante . Sur chaque plant , seuls trois ou quatre fruits sont conservés , lesquels pèsent de 2 à 20 kg à maturité ! Une bonne pastèque doit être lourde , ferme , avoir une écorce lisse et brillante, et sonner creux . Si elle présente une tache jaune , c'est bon signe ; cela veut dire qu'elle a bien pris le soleil et est parfaitement mûre . Elle se conserve à l'air ambiant , mais pas plus d'une semaine . Une fois coupée, emballez-la dans un film alimentaire au réfrigérateur (six jours environ) . Dégustez-la en salade de fruits avec du melon et quelques feuilles de menthe , ou en soupe froide , relevée d'un filet d'huile d'olive . Vous pouvez aussi tenter de la cuire ; en confiture , en accompagnement de la viande, en beignets ou rapidement saisie au barbecue . Vous serez agréablement surpris !

    Tellement bon pour la santé

    Gorgée d'eau ( plus de 90 %) , très peu calorique , ce fruit et des plus désaltérants . Autres atouts ; a teneur en lycopène , un puissant antioxydant qui diminuerait le risque de maladies chroniques . La pastèque est aussi riche en vitamine C , une alliée du système immunitaire ; en vitamine B6 , bonne pour le cerveau ; en provitamine A, bénéfique pour les yeux . Si elle contient peu de minéraux ,ils ont cependant d'une grande diversité . Un cocktail santé à déguster jusqu'à fin août !

    Le petit plus

    Coté formes ...

    Pour les stocker sans perdre de place , les japonais ont inventé les pastèque carrées ! Des producteurs du sud de l'archipel les cultivent dans des boites (photo ci-dessous ) , dont elles épousent la forme en poussant . Il est ainsi bien plus facile de les empiler une fois récoltées . Et bien moins cher de les transporter .

    La pastèque

    ... Et coté couleurs

    La pastèque orangeglo , à la pulpe jaune orangé , et exceptionnellement sucrée . Sa chair savoureuse et légèrement croustillante .Ce fruit oblong pèse de 9 à 14 kg .

    La sugar baby est , elle ,une petite pastèque ronde , à la peau vert bouteille tigrée , pesant de 2 à 3 kg .Sa chair est rouge foncé est très sucrée et rafraîchissante .( source Télé-loisir . photos du net )


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  •  Comment le reconnaître ?

    Lorsque la pression et la fatigue s'accumulent au travail , on n'est pas loin de craquer nerveusement . Pourtant , ce syndrome d'épuisement professionnel va au-delà de ses symptômes .

    Vous avez du travail par-dessus la tête et des horaires à rallonge ? Vos supérieurs vous mettent la pression ? A l'impossible, nul n'est tenu .Pour ne pas vous laisser envahir par le stress , apprenez à dire non . Pour vous protéger du burn-out , mieux vaux connaître ses manifestations .

    Des signes qui ne trompent pas

    Vous traversez une période difficile au bureau , mais si vous arrivez à couper et à retrouver le sourire une fois rentré à la maison , pas d'inquiétude . En effet en cas de burn-out , l'impression de fatigue ne concerne pas seulement le travail . La simple idée de sortir, d'aller faire les courses ou de passer un moment en famille paraît épuisante. Vous n'avez plus le courage de faire quoi que ce soit , même en dehors du travail , c'et un signe qui doit alerter .D'autres symptômes associés peuvent également faire penser à un burn-out ; vous n'arrivez pas à récupérer après une bonne nuit de sommeil ou quinze jours de vacances , vous souffrez de troubles digestifs , du sommeil ou de douleurs musculaires , votre confiance en vous est en chute libre et vous avez l'impression de n'être plus bon à rien au travail . Le dernier signal est une sorte << d'anesthésie émotionnelle >> ; plus rien ne vous touche , et vous restez indifférent , par exemple , face à des nouvelles tristes aux infos ou à un événement heureux dans votre entourage .

    Plusieurs causes

    Bien sûr , la charge de travail et l'accumulation du stress sont les premiers facteurs du burn-out .Mais tous ceux qui les subissent ne sont heureusement pas touchés . Il semble que d'autres facteurs combinés à ce stress forment le cocktail explosif qui peut mener à l'épuisement . Parmi eux ; la monotonie du travail , le manque d'autonomie , l'absence de reconnaissance ou une ambiance tendue . Si tous ces éléments sont réunis , il faut être très vigilant .

    Des prédispositions

    Nous ne sommes pas tous égaux devant ce danger . Les personnes naturellement exigeantes envers elles-mêmes et perfectionnistes , qui s'investissent beaucoup dans leur carrière professionnelle , seraient ainsi plus vulnérables face à ce syndrome .D'ailleurs , on note souvent chez les victimes du burn-out une tendance à recourir à diverses substances du type alcool, tabac, drogue , pour rester performant .

    Ne pas hésiter à consulter

    Le burn-out ne frappe pas du jour au lendemain , c'est un état qui s'installe progressivement , sans que l'on s'en rende compte ... D'où l'importance d'être pris en charge le plus tôt possible , car il s'agit d'une pathologie sérieuse dont on e peut se sortir seul . Si vous reconnaissez un ou plusieurs de ces symptômes , n'hésitez pas à en parler à votre généraliste ou au médecin du travail , qui pourra confirmer le diagnostic et décider d'un éventuel arrêt de travail et/ou vous orienter vers un psychologue .

    Un mal difficile à chiffrer

    Obtenir des statistiques sur cette pathologie est extrêmement compliqué car elle n'et pas encore reconnue comme maladie professionnelle .Cependant , 17% des salariés français se disent potentiellement concernés par le burn-out . (source : Etude Think/Great Place to Work de janvier 2015)

    Attention , professions à risque !

    Ce phénomène d'usure professionnelle ne concerne pas tous les travailleurs de la même façon . Si les études manques , il semble que certains secteurs ou professions soient plus <<à risque >> que d'autres . C'est notamment le cas des métiers au contact de personnes en souffrance ( personnels soignants, travailleurs sociaux , etc. ). Le fait d'occuper un poste à responsabilité (cadre, dirigeant , chef d'entreprise ...) ou d'avoir une activité indépendante (artisan, free-lance, commerçant , agriculteur...) représente également un facteur de risque supplémentaire .

    L'avis de l'expert  

    Dr Patrick Légeron psychiatre à l'hôpital Saint-Anne , à Paris , fondateur du cabinet stimulus et auteur du livre "Le stress au travail , un enjeu de santé " éd Odile Jacob .

    Le burn-out

    Quels sont les bons réflexes pour se protéger du burn-out ?

    Garder du lien social .Parler avec ses collègues et son entourage quand on sent que ça ne va pas . Puis essayer de prendre de la distance , accepter que l'on peut échouer ; les méthodes du type relaxation ou méditation peuvent aider . Enfin , ne pas surinvestir la sphère professionnelle , se consacrer à d'autres activités et adopter un mode de vie sain .

    Quels changements faut-il envisager au travail ?

    Il faut apprendre à déléguer et à dire non pour diminuer la charge de travail et les sources de stress .Mais aussi éviter la monotonie en demandant de nouvelles responsabilités , une réorganisation du service pour travailler plus en autonomie ou exprimer sa créativité . Le besoin de reconnaissance est également important .

    En cas de burn-out avéré , quelle est la prise en charge ?

    Cela passe par un arrêt de travail prolongé . En parallèle ,un suivi psychologique est indispensable pour travailler sur sa gestion du stress et des émotions , son rapport au travail ... Ils s'accompagnent le plus souvent d'un traitement à base d'antidépresseurs .( Source : télé-loisirs )

     


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  • Plaisir veggie

    plaisir veggie et shake surprise

    Shake surprise

    plaisir veggie et shake surprise


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  • Choc orange - Beurre de cacahuète

    Choc-Orange et Délice-Coco

    Délice coco

    Choc orange et Délice Coco

     


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  • Après une greffe du cœur,

    Mélanie est devenue maman.  

    Mélanie, 33 ans, a subi une greffe du cœur à l’adolescence. Cela ne l’a pas empêchée, malgré les fortes réticences de ses médecins, de mettre au monde un petit garçon. Son désir d’enfant a été plus fort que tout.

    Une histoire de coeur

    Greffée du cœur, j’ai eu un enfant malgré l’avis des médecins

    Très jeune, mon cœur m’en a fait voir de toutes les couleurs! A l’âge de 9 ans, j’ai fait un infarctus… A 12 ans, il m’était impossible de faire le moindre effort, de monter un escalier et bientôt de marcher. Je m’évanouissais à tout bout de champ! A 12 ans et demi, mon pronostic vital était engagé: il fallait absolument me greffer un nouveau cœur, sinon je perdais la vie. Après quelques mois d’attente, j’ai eu la chance que l’on me greffe un cœur tout neuf: j’avais alors 13 ans. L’opération s’est déroulée sans anicroche et la vie m’a ouvert les bras: je pouvais remarcher sans problème, avoir une vie d’adolescente normale, ou presque. La seule chose qui était très pénible, c’était de prendre toutes les huit heures le médicament antirejet. Quatre mois après la greffe, je suis retournée à l’école, je suis redevenue comme les autres, sauf que mon cœur battait très vite et que les sports collectifs m’étaient interdits.

    Un désir d'enfant si fort

    Vers 16 ans, j’ai commencé à avoir des complexes. Je n’acceptais pas mon corps avec son immense cicatrice sur le torse… Évidemment, j’étais sûre qu’aucun garçon n’allait s’intéresser à moi: je pensais que je n’étais pas tout à fait "normale". Et puis, à 17 ans, je suis tombée folle amoureuse d’un garçon de mon âge. J’étais sûre de n’avoir aucune chance avec lui, et pourtant, il m’a trouvé belle et sympa, et très vite, nous sommes sortis ensemble. Rapidement, je lui ai dit que j’avais subi une greffe de cœur: à ma grande surprise, ça n’a rien changé à ses sentiments. C’est lui qui me rassurait quand je lui disais que je ne comprenais pas qu’il s’attache à une fille comme moi!

     A 23 ans, nous nous sommes mariés et pour moi, c’était une évidence que j’aurais un enfant de l’homme que j’aimais… Évidemment, j’en ai parlé à mon cardiologue qui s’est montré plus que réticent. Sans me l’interdire totalement, il m’a expliqué qu’une grossesse pouvait provoquer un risque de rejet. J’étais désespérée, mais je n’ai pas voulu baisser les bras. J’ai cherché de la documentation sur Internet et j’ai trouvé des témoignages de femmes greffées du cœur qui étaient quand même devenues mamans, sans problème particulier. Ça m’a redonné espoir. J’ai revu alors mon médecin qui, devant mon désir d’enfant si fort, m’a alors simplement conseillé de n’en avoir qu’un seul. Il m’a expliqué qu’on allait modifier mon traitement antirejet et me changer d’immunosuppresseur, ce médicament qui empêche le rejet. Ça m’a soulagée d’avoir son feu vert, même s’il le donnait à contrecœur, c’est le cas de le dire! J’ai alors tenté de tomber enceinte, mais j’ai fait trois fausses couches à la suite, qui n’avaient rien à voir avec ma greffe. Enfin, au bout d’un an et demi environ, je suis tombée de nouveau enceinte: cette fois, tout a fonctionné et j’ai commencé une grossesse.

     Par sécurité, à la demande de mon médecin, j’ai arrêté de travailler très vite et je me suis reposée le plus possible. Quand j’ai senti mon bébé bouger pour la première fois, j’ai été émue aux larmes.… J’avais bien sûr un suivi très rigoureux: en plus des échographies habituelles, j’ai eu cinq échographies cardiaques pour vérifier comment mon cœur réagissait. La seule fois où je me suis angoissée, c’est quand le médecin a demandé une échographie fœtale pour vérifier le cœur de mon bébé. Heureusement, tout allait bien.

     L’obstétricien m’avait dit que l’on me ferait une césarienne pour éviter un accouchement par voie basse, qui demanderait trop d’efforts à mon cœur. Ça me rendait particulièrement triste de ne pas pouvoir accoucher normalement. J’ai alors réussi à convaincre mon médecin de me laisser mettre au monde mon enfant par voie naturelle, et finalement, mon enfant est né dans un temps record: en quatre heures il était là! Je n’ai pas eu le temps de fatiguer mon cœur!

    Mon fils, mon bonheur

    A la naissance, mon petit garçon n’était pas très gros puisqu’il pesait 2,380 kg pour 45 cm. Il est vrai qu’il est né près de trois semaines en avance. Mon cardiologue m’avait prévenue que les femmes greffées du cœur accouchaient souvent prématurément. Mais malgré son poids plume, mon bébé allait très bien. On lui a fait très vite une échographie cardiaque qui a montré qu’il avait un cœur qui fonctionnait parfaitement. J’aurais bien allaité mon bébé, mais les médecins me l’ont vivement déconseillé à cause des médicaments anti-rejet que je prenais chaque jour et qui pouvaient se retrouver dans mon lait. Cette fois, je les ai écoutés sans rechigner! Aujourd’hui, mon petit gars a 5 ans et il est vif comme l’éclair: c’est un vrai bonheur! Il est au courant pour ma greffe: il a vu ma cicatrice et ça ne semble pas le déranger plus que ça. Je sais que je suis une miraculée, je reviens de loin, mais je pense à l’avenir avec confiance. Si j’avais écouté les médecins, je n’aurais jamais eu d’enfant! Je comprends qu’ils soient très prudents et ne souhaitent pas prendre de risque avec des patientes comme moi, mais j’ai suivi mon instinct et j’ai eu raison de le faire. Aujourd’hui, j’ai une famille, un travail, une maison et je me sens bien dans mes baskets de maman! La seule chose, c’est que je dois continuer mon traitement anti-rejet à vie. Désormais, je prends une gélule le matin, une le soir, ce qui n’est finalement pas si terrible que ça, et mon cœur est en pleine forme. Bien sûr, je ne vais pas tenter le destin: malgré mon envie, je n’aurai donc qu’un seul enfant, ce qui est déjà extraordinaire pour quelqu’un qui a eu le parcours de santé qui est le mien. Condamnée à l’âge de 13 ans, vingt ans plus tard, je vis entourée de l’amour de mon fils et de mon mari. Ma vie, finalement, est une belle histoire de cœur! ( Source: journal parents Article de Gisèle Ginsberg ,mis à jour le 7 mars 2017 )

     


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  • J'y prête attention !

    La tension artérielle

    A chaque consultation , votre médecin mesure votre tension artérielle . Mais savez-vous à quoi sert cette mesure dans le cadre de suivi du diabète ? Quand elle est trop élevée (hypertension), des complications au niveau du cœur et des vaisseaux ont plus de risque de survenir . Avec une hypertension associée à un diabète , ce risque cardiovasculaire augmente . C'est pourquoi il est important de connaître sa tension artérielle et d'agir pour la maintenir sous contrôle .

    Pour diagnostiquer une hypertension artérielle, , c'est-à-dire une pression trop élevée exercée par le sang sur la paroi des artères , une seule mesure ne suffit pas . Généralement , votre médecin constate qu'une tension est trop élevée quand celle-ci est durablement supérieure à 140/90 mm Hg après plusieurs mesures sur un certain temps (voir aussi l'encadré).

    Je veille sur ma tension ...

    Mesurer régulièrement la tension est nécessaire car l'hypertension artérielle fragilise peu à peu les artères de façon silencieuse , sans signe apparent . Les artères du cœur , des membres inférieurs et du cerveau sont les plus touchées , augmentant le risque de complications graves ; respectivement l'infarctus du myocarde , l'artérite de membres inférieurs et l'accident vasculaire cérébral (AVC) . De même l'hypertension altère les petits vaisseaux sanguins au niveau des reins ou des yeux et peut entraîner une insuffisance rénale ou un atteinte de la rétine .

    ... Pour la garder sous contrôle .

    Le suivi de la tension artérielle avec votre médecin est essentiel pour la garder sous contrôle . Ensemble , vous définissez vos objectifs . Il peut également vous conseiller pour démarrer ou reprendre une activité physique , bénéfique pour la tension .Côté alimentation , il est recommandé de limiter le sel et de privilégier une alimentation variée et équilibrée . Le tabac est aussi très nocif .Contre l'hypertension , un traitement peut être envisagé si besoin .Principal interlocuteur pour votre diabète , votre médecin traitant l'est aussi pour votre tension artérielle .

    La tension artérielle

     


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