• Nom scientifique : Persea gratissima

    L' avocat

    Famille : Lauracées

    Autre nom : Aguacate , poire alligator

    Origine : Bahamas , Floride

    Production : Antilles , Floride, Côte d'ivoire , Israël

    Comment le déguster ? A point quand la chair peut se presser légèrement sous le doigt . Il se consomme nature , en vinaigrette ou encore en purée épicée , en velouté , en glace même . . .

    Comment le faire pousser chez soi ?

    Faites 3 petits trous dans le noyau à 2 cm au-dessus de la base et plantez-y des allumettes . Installez le noyau "le cul dans l'eau" .

    L' avocat

    Dans quelques semaines , votre avocatier va émettre sa première tige et sa première racine .

    Il sera temps de le planter dans un pot rempli de terre . Bien au chaud , il pourra atteindre 2 m de haut et vivre plusieurs années


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  • Voici une autre recette tendance pour cet hiver

    Ingrédients : pour 4 personnes

    oeuf parfait , crème de roquette et poutargue

    Préparation : 30mn       Cuisson  : 1 h 00

    Sortez les œufs du réfrigérateur et placez-les à température ambiante 3 h à l'avance .

    Dans une casserole d'eau chauffée à 64 °C , plongez les œufs et laissez cuire 1 h , en ajustant la température de l'eau ( allumez rapidement le feu sous la casserole ou ajoutez de l'eau chaude ).

    Dans une casserole moyenne , chauffez 2 cuillère à soupe d'eau et faites fondre l'échalote hachée .

    Ajoutez la pomme de terre pelée et coupée en dés et le cube de bouillon .

    Couvrez à peine d'eau et laissez cuire 5 mn .

    Mixez longuement avec un mixeur plongeant .

    Chauffez doucement le reste de l'huile avec l'ail émincé .

    Au bout de 3 mn , ajoutez les pignons finement concassés et la chapelure puis mélangez 3 mn

    Hors du feu , ajoutez le zeste de citron râpé et le persil ciselé .

    Salez peu et poivrez .

    Dans des assiettes creuses et chaudes , étalez un peu de crème de roquette.

    Faites un léger creux au centre et déposez délicatement les œufs parfaits décoquillés .

    Parsemez d'un trait de chapelure et ajoutez des copeaux de poutargue.

    Servez aussitôt . 

     


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  • Richesses des tropiques

    Le jardin tropical

    Des goûts nouveaux

    Les hommes de part le monde , cultivent à peine une petite centaine d'espèces végétales comestibles sur les quelques milliers existant . Et encore , il y a peu , chacun avait ses propres cultures selon le coin de la planète où il habitait .

    Heureusement pour nous , le développement des voyages et des transports nous permet aujourd'hui de connaître des fruits et légumes venus du monde entier , et de découvrir toute la palette de leur goût , de leur parfum, de leur forme et de leur couleur aussi .

    Le porc à la mangue ou le ragoût d'igname sont désormais à la portée de nos palais curieux . . .

    Pour un jardin nouveau

    Et si, au lieu de seulement déguster ces végétaux , vous les cultiviez , pour créer un véritable potager exotique ? ! En faisant vos courses à l'épicerie exotique du coin , vous allez inventer une véranda ou un jardin gourmand , avec des manguiers aux larges feuilles roses , des litchis aux branches très ramifiées , des patates douces et des chayottes en réseau de lianes . . .

    Pas de saisons

    La plupart de ces plantes poussent dans leur pays d'origine sans souci de saison , on peut donc lancer leur culture un peu n'importe quand ( une chayotte ou une patate douce démarreront très bien en plein hiver ) .

    Beaucoup de lumière

    Elles sont cependant habituées pour la plupart à recevoir beaucoup de lumière . Pas question, donc, de les installer dans un recoin sombre de la maison ou sous l'ombre des buissons .

    De la chaleur

    De la même façon, ces petites fragiles sont habituées à des températures élevées , et ce tout au long de l'année . Si la plupart , donc , apprécieront un séjour u grand air de juin à septembre , elles sont a rentrer au chaud pour toute la mauvaise saison , craignant le gel par dessus tout .

    Beaucoup d'eau

    Toujours pour cause d'origine tropicale (avec certes, une atténuation forte des écarts de température et de lumière , mais pas en ce qui concerne l'humidité) , ces fruits et légume exotiques démarrent leur croissance au début de la saison des pluies .

    A défaut de mousson chez nous , elles auront besoin d'une humidité quasi constante , ceci étant particulièrement vrai à leur démarrage

    Un peu de calme

    Ceci dit , l'hiver , une période de repos , avec arrosage modéré et sans engrais , leur fera le plus grand bien . Le feuillage de ces plantes doit alors être régulièrement pulvérisé , car elles seront dans des pièces chauffées et desséchantes (la température ne doit pas descendre en dessous de 15  C.)

    Le bon mélange

    Dernier élément pour ces plantes dont la plupart vivront chez nous en pot , leur substrat . Le mélange idéal pour elle est :moitié terre de jardin non calcaire , un quart de compost et un quart de sable grossier .


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  • Je vous propose cette recette tendance de filet mignon au foin 

    Ingrédients  : pour 4 personnes

    Filet mignon au foin

    Préparation : 25 mn        Cuisson : 40 mn

    Pressez l'ail et badigeonnez-en le filet mignon , puis salez et poivrez .

    Dans une poêle , chauffez 2 cuillères à soupe d'huile et faites colorer la viande , 10 mn .

    Retirez-le et déglacez avec le vin blanc puis réservez

    Préchauffez le four à 210° C (th 7) .

    Rincez et essorez le foin

    Réservez -en 30 g .

    Placez-en une couche dans le fond d'une cocotte puis posez le filet dessus .

    Ajoutez le reste d'huile et 2 cuillères à soupe d'eau.

    Couvrez de foin et fermez la cocotte .

    Enfournez 30 mn .

    Dans une autre poêle, faites fondre la carotte , l'échalote et le céleri haché dans le beurre .

    Ajoutez le contenu de l'autre poêle déglacée , les 30 g de foin , 15 cl d'eau et le fond de veau .

    Portez à ébullition puis laissez infuser 20 mn avant de filtrer .

    Laissez réduire d'un tiers .

    Tranchez le filet et arrosez -le de sauce .

    Servez chaud .

     


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  • Anne-Gwen, greffée du coeur et jeune maman

     Pour Anne-Gwen Uguen : « Toutes ces années ont été un parcours du combattant, la naissance de Nina n'en est que plus belle ! 

    Greffée du coeur et jeune maman

    Elle est la première maman greffée du coeur brestoise, et la 14e dans le grand Ouest. La naissance de sa fille est une sacrée victoire sur la vie.

    Nina, jolie « crevette » de 2,6 kg, dort tranquillement dans son landau. « Pour être exact, il aurait fallu l'appeler Victoire, mais ç'aurait été un prénom trop lourd à porter » Pour Anne-Gwen Uguen, 33 ans, son enfant est un superbe cadeau de la vie. Une revanche sur une maladie qui, il y a sept ans, lui avait fait frôler la mort. « J'étais très essoufflée, comme lors d'une crise d'asthme. En janvier 2001, une cardiomyopathie a été diagnostiquée. Mon coeur se dilatait mais ne se contractait plus. »

     Pour la jeune femme, la seule solution, c'est la greffe de coeur. Elle attendra six longs mois. Elle se trouve alors au CHU de Nantes, dans un état de grande faiblesse. Sa voisine de chambrée, même âge, même maladie, n'y survivra pas. Un donneur est enfin signalé. Anne-Gwen Ugen est opérée dans la nuit du 2 au 3 juin. Avec succès. « On m'a redonné la vie. S'il n'y avait pas eu ce donneur, je ne serais pas là... et Nina non plus. »

    La jeune femme, volontaire, reprend son travail de professeure d'éducation physique et sportive. « J'ai repris une vie normale. » Mais ce qu'elle désire par-dessus tout, c'est de mettre au monde un enfant. Sauf que durant une grossesse, le débit cardiaque augmente beaucoup. Une femme enceinte s'essouffle très vite.

    Une grossesse très surveillée

    Heureusement, en une vingtaine d'années, la médecine a fait beaucoup de progrès. Et des grossesses sont devenues possibles pour les femmes souffrant de maladies cardiaques, tout en étant très surveillée. Dès le début, les médicaments antirejet (de la greffe) de la jeune femme ont été changés, ou les doses allégées, car ils pouvaient avoir des effets sur l'embryon. Elle a été suivie par un cardiologue et un gynécologue, en lien avec des spécialistes nantais. « Tous les mois, je passais des électrocardiogrammes et des échographies. »

    La grossesse s'était bien passée, sauf le premier trimestre. « J'ai été malade et vomissais mes médicaments » Elle a été hospitalisée deux fois pour cette raison. Les deux trimestres suivants ont été plus tranquilles... sauf que Nina est arrivée avec un mois et demi d'avance, le 9 août, à Morvan. L'accouchement s'est bien passé. Comme dans tous les cas prématurés, bébé et parents ont été pris en charge par le service du professeur Jacques Sizun, où l'on applique les méthodes du Nidcape, dont le peau à peau.

    « Toutes ces années ont été un parcours du combattant, la naissance de Nina n'en est que plus belle ! » Jeudi, la maman et sa fille - qu'elle allaite - ont quitté l'hôpital Morvan. Et le coeur de Nina fonctionne bien.

    Anne-Gwen Uguen est la première maman greffée du coeur brestoise, la 14e dans le grand Ouest. (source :Ouest-France , septembre 2008)

     


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  • Découverte d'une enzyme contre l'excès de sucre, une possible arme anti-diabète  

    Une enzyme anti-diabète

    Cette enzyme neutralise les effets toxiques des excès de sucre dans l'organisme en régulant l'utilisation du glucose et des lipides par différents organes. Elle pourrait ouvrir la voie à de nouveaux traitements contre le diabète et l'obésité.

    La découverte d'une enzyme qui neutralise les effets toxiques des excès de sucre dans l'organisme en régulant l'utilisation du glucose et des lipides par différents organes pourrait ouvrir la voie à de nouveaux traitements contre le diabète et l'obésité. Cet enzyme, appelée glycérol-3-phosphate-phosphatase (G3PP) dont on ignorait jusqu'alors l'existence dans les cellules des mammifères, joue un rôle clé pour éliminer les effets d'un excès de sucre, expliquent ces chercheurs dont les travaux sont dirigés par Marc Prentki et Murthy Madiraju du Centre de recherche du centre hospitalier de l'université de Montréal (Canada). Cette avancée est publiée lundi dans les Comptes rendus de l'Académie américaine des sciences (article en anglais).

    Lorsque le glucose est anormalement élevé dans l'organisme, le glycérol-3-phosphate dérivé du glucose atteint des taux excessifs dans les cellules ce qui peut provoquer des dommages aux tissus.

    "Nous avons constaté que la G3PP peut dégrader une grande partie de ce glycérol-3-phosphate en excès et le détourner de la cellule, de sorte que les cellules bêta pancréatiques productrices d'insuline et les divers organes sont protégés des effets toxiques d'un niveau élevé de glucose", explique Marc Prentki, professeur à l'Université de Montréal. Le glucose et les acides gras sont les principaux nutriments des cellules des mammifères.

    Obésité, diabète adulte et pathologie cardiovasculaires en cas de dérèglements

    Leur utilisation dans les cellules régule de nombreux processus physiologiques comme la sécrétion d'insuline par le pancréas, de glucose dans le foie, le stockage des lipides dans les tissus adipeux et le métabolisme des nutriments pour produire de l'énergie. Un dérèglement de ces processus provoque l'obésité, du diabète adulte (type 2) et des pathologie cardiovasculaires. L'insuline est une hormone clé produite par les cellules du pancréas pour réguler l'utilisation du glucose et des lipides.

    Si ces cellules sont exposées à trop de glucose et d'acides gras, les mêmes nutriments deviennent toxiques et les altèrent, provoquant leur dysfonctionnement et le diabète. L'enzyme G3PP est de ce fait essentielle au bon fonctionnement du métabolisme en étant nécessaire à la fois pour la production d'énergie et la formation des lipides, soulignent ces scientifiques. Les résultats de ces travaux offrent une nouvelle cible thérapeutique potentielle contre l'obésité, le diabète et le syndrome métabolique, estiment ces chercheurs.

    Pour cela ils s'efforcent de trouver "de petites molécules capables d'activer l'enzyme G3PP", ce qui en cas de succès et après des tests concluants sur des animaux, constitueraient une classe entièrement nouvelle de traitement contre le diabète et l'obésité. ( Source : Francetv Info du 11 01 2016)


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  • Nom scientifique : Ananas comosus .

    L'ananas

    Famille : Broméliacées .

    Origine du nom : "Nana" , en langue indienne signifie "parfum" .

    Production : Quasiment toutes les régions tropicales et subtropicales du monde .

    Aspect de la plante : Herbacée aux tiges courtes , avec des rosettes basales de feuilles rigides , la plante produit en son cœur un " fruit " qui est en fait la soudure de multiples baies .

    Comment le déguster  ? Parfumé, sucré , plus ou moins acide selon les variétés , il est bon cru, en jus , cuit, en sauce, confit, givré , flambé . . . Il est à point quand on peut retirer la feuille centrale de son plumeau .

    Comment le faire pousser chez soi ?

    Découpez la rosette de feuilles d'un ananas bien vert en conservant un centimètre de chair .

    Après avoir laissé sécher la coupe , plantez-là dans un mélange de sable et de terreau jusqu'à la base des feuilles et placez-là au chaud dans une pièce à 18 ° C. , dans une pièce claire .

    Arrosez souvent et vaporisez de l'eau sur le feuillage .

    Pas de récolte à attendre , mais une belle plante d'intérieur . . .

    L'ananas

    Voir aussi l'article : le jardin tropical

    http://don-de-vie-62.eklablog.com/le-jardin-tropical-a119847088


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  • Un miracle pour les 5 ans d'Elissa

    La petite Élissa Grondin fêtera son cinquième anniversaire dans deux semaines. Pour sa fête, ses parents souhaitent ni plus ni moins qu’un miracle, ou qu’on trouve enfin un coeur compatible pour leur fille.

    Un miracle pour Elissa

    « Je le souhaite beaucoup ce miracle-là. On sait que ce n’est pas un cadeau qui se donne de plein gré, mais c’est ce qu’on souhaite, un miracle », se résigne Patrick Grondin.

    Née avec trois malformations au coeur, Élissa Grondin devait subir une troisième et dernière opération au début 2015 pour lui permettre de vivre normalement. Son état ne lui a cependant jamais permis de la recevoir et sa santé n’a cessé de régresser par la suite. Hospitalisée aux soins intensifs de l’Hôpital Sainte-Justine depuis septembre, la fillette a subi des complications la veille de Noël qui l’obligent dorénavant à être branchée en permanence et à recevoir un apport en oxygène 24 heures sur 24. Son coeur ne fonctionne plus qu’à 13 % de ses capacités et sa situation est dorénavant critique.

    « Son coeur semble se relâcher soir et matin. Il pompe tellement peu qu’il faut liquéfier son sang au maximum pour s’assurer qu’il puisse circuler sans causer de problèmes. Ça fait longtemps que je dis aux médecins de prendre le mien; je ne veux pas attendre que ma fille décède. Mais ça ne fonctionne pas comme ça et chaque semaine, chaque jour et chaque minute qui passe comptent », déplore le père d’Élissa.

    Ce dernier espère ardemment que sa fille, qui a besoin d’un coeur d’un enfant pesant au maximum 23 kg (50 lb), puisse éviter l’intervention d’un coeur de Berlin, un coeur mécanique externe qui lui permettrait de prolonger l’attente d’un vrai coeur, mais qui mettrait aussi sa vie en péril.

    « Même si ça sauve des vies, vu les malformations au coeur de ma fille et son état actuel, ce serait extrêmement dangereux. Ce serait de flipper un trente sous et on ne veut vraiment pas se rendre là. »

    Et en plus de son état physique précaire, Élissa a de plus en plus de difficultés à garder le moral. Après avoir indiqué à ses parents qu’elle se sentait seule dans le temps des Fêtes, ces derniers ont lancé un appel sur Facebook pour qu’on lui fasse parvenir des dessins représentant l’été, la Reine des neiges, des arcs-en-ciel et toute autre chose que la fillette aime, ce à quoi les gens ont répondu avec plus de 700 dessins pour la revigorer. Néanmoins, la santé psychologique de la fillette périclite.

    « On voulait qu’elle ne se sente pas seule, mais malgré tout elle se referme beaucoup sur elle-même. Elle est irritable. Elle ne parle plus à aucun homme à part son papa. Même avec les infirmières, c’est difficile. Tout ce qu’on peut faire c’est attendre. »

    Attendre qu’un malheur, quelque part, survienne, « même si c’est triste à dire », ajoute M. Grondin.

    « On ne souhaite pas de malheur à personne, mais c’est rendu qu’on regarde la météo des fois en souhaitant une tempête de neige. S’il arrive un accident quelque part et que ces personnes ont été sensibilisées au don d’organes avant que ça arrive, ça pourrait sauver notre fille. C’est bizarre, mais oui on souhaite un donneur. »

    L’importance de signer sa carte soleil

    En arrêt de travail, Patrick Grondin et sa conjointe Josée Scantland, qui sont aussi les parents d’un garçon de trois ans, mettent donc toute leur énergie à sensibiliser les gens à l’importance de signer sa carte de don d’organes… et celles de leurs enfants.

    « C’est la seule arme qui nous reste pour sauver notre fille, indique le Sherbrookois. Ça prend quelqu’un qui décède d’une mort cérébrale ou d’un accident d’auto, mais seulement 1 % des gens sont des donneurs potentiels, ce qui équivaut à 300 donneurs par an. Sur ce nombre, imaginez le nombre d’enfants et ceux avec qui l’opération sera compatible… »

    M. Grondin insiste également sur le fait d’en discuter au préalable avec ses proches, pour qu’ils ne s’y opposent pas le moment venu.

    « Ça demeure toujours un peu tabou, le don d’organes. Une famille sur deux n’honore pas la volonté de leur proche même s’il a signé sa carte, pour une raison ou une autre. Il n’y a pas que ma fille qui attend, il y en a beaucoup d’autres, et on ne pense jamais que ça pourrait être nous, jusqu’à ce qu’on reçoive un appel téléphonique un matin… » (Source : la tribune du 12 01 2016)


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  • Ingrédients :  pour 4 personnes

    Tartare de boeuf à la moutarde verte

    Préparation :  10 mn     Cuisson :  Néant

    Pelez et hachez très finement les échalotes.

    Hachez les cornichons et les câpres.

    Mélangez dans un bol la moutarde avec les échalotes, les cornichons et les câpres.

    Ajoutez le Tabasco, du sel, du poivre et, enfin, l'huile d'olive.

    Placez le bœuf haché dans un saladier .

    Ajoutez la sauce à la moutarde et mélangez délicatement à la fourchette.

    Répartissez le tartare sur 4 assiettes .

    Façonnez-le dans des cercles.

    Décorez avec le cerfeuil (vous pouvez ajouter de fins pétales de radis et de jeunes courgettes). Servez accompagné d'une purée de pommes de terre ou d'une salade de mesclun.

    Le petit plus


    Réalisez un beurre composé en mélangeant de la moutarde avec un peu de beurre et des herbes fraîches.

    Mixez au robot goûtez et rectifiez l'assaisonnement.

    Tartinez sur du pain de campagne grillé et servez avec le tartare.


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  • Mucoviscidose. Des patients vont tester une nouvelle molécule

    L'hôpital de Brest pilote une étude clinique sur la roscovitine. Les résultats sont attendus dans le courant de l'année.

    Mucoviscidose

    Le centre hospitalier régional universitaire de Brest, le Centre de ressources et de compétences de la mucoviscidose (CRCM) de la Fondation ildys à Roscoff, et la société ManRos Therapeutics, ont annoncé le lancement d’une étude clinique visant à évaluer la bonne tolérance et les effets d’une nouvelle molécule (la « roscovitine ») pour le traitement de la mucoviscidose.

    7 000 personnes touchées en France

    Des études précliniques menées en France et aux Etats-Unis conduisent à penser que la roscovitine pourrait constituer un traitement efficace dans la mucoviscidose qui touche près de 70 000 personnes dans le monde et 7 000 en France.

    Selon ses promoteurs, la roscovitine pourrait à la fois "corriger en partie la principale mutation génétique responsable de la mucoviscidose" ; "renforcer les capacités bactéricides des patients atteints de mucoviscidose pour les aider à lutter contre les infections chroniques dont ils sont l’objet" ; "agir comme un agent anti-inflammatoire"  ; "avoir un effet analgésique vis-à-vis des douleurs chroniques associées à la mucoviscidose".

    36 patients

    L’étude clinique qui démarre incluera 36 patients adultes atteints de la mucoviscidose. Ils recevront différentes doses de traitement pendant près d’un mois. Neuf centres hospitaliers spécialisés dans la mucoviscidose seront impliqués dans cette étude à Lille, Lyon, Montpellier, Nantes, Paris, Rennes, Roscoff, Suresnes et Toulouse. Les premiers résultats sont attendus fin 2016. ( source : Ouest France du 06 01 2016)


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