•  

     Ingrédients :  4 personnes

     1,5 à 2 kg de pommes de terre

     250 g de gryère râpé ( ou plus ) 

    1 gousse d'ail 

    1 fine tranche de lard salé

     25 cl de crème fraîche  

    sel et poivre

     Epluchez les pommes de terre

    Lavez-les et coupez-les en rondlles fines et régulières

    Placez-les dans une cocotte de préférence en terre ou un plat à gratin

    Intercalez pommes de terre et gruyère 

     Terminez par une couche de pommes de terre

    Salez et poivrez

    Répartissez l'ail en petits morceaux

    Arrosez d'eau à mi-hauteur

    Posez le tranche de lard sur le dessus

    Enfournez à 180 ° c ( th 6) pendant 1h 30 environ

    Ajoutez la crème fraîche vingt minutes avant la fin de cuisson . celle-ci rendra le gratin onctueux .

     

     

     

     


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  • Un cocktail de thérapie cellulaire et d’anticorps monoclonal a permis à des chercheurs de l’Inserm d’empêcher un rejet de greffe chez la souris, et ce sans instauration d’un traitement immunosuppresseur à long terme.

     

     

    Une nouvelle piste contre le rejet de greffe

    Réduire le traitement immunosuppresseur administré en cas de greffe :

    Voilà l’objectif de deux équipes Inserm travaillant à Paris* et à Nantes**. Si les immunosuppresseurs permettent d’éviter le rejet d’un organe greffé en inhibant de façon très forte le système immunitaire, leurs effets indésirables sont importants, avec notamment un risque accru d’infections ou de cancers. De plus, ces traitements doivent être maintenus à long terme, pendant toute la vie du greffon. La mise au point de solutions alternatives est donc plus que souhaitable !

    La stratégie étudiée par les deux équipes Inserm consiste à rendre le système immunitaire du receveur tolérant vis-à-vis du greffon, de manière à ce qu’il l’accepte durablement. Un concept tout à fait crédible à en croire les résultats de l’étude qu’elles viennent de mener chez la souris : les chercheurs ont en effet réussi à rendre un rongeur tolérant à son greffon grâce à l’association d’une thérapie cellulaire et d’un anticorps monoclonal. "Les souris ont conservé leurs allogreffes d’îlots pancréatiques plus de 100 jours. On peut donc considérer qu’elles tolèrent leur greffon à long terme", résume Sylvaine You*, coauteur des travaux.

     

    Cellules dendritiques tolérogènes et anticorps anti-CD3

     

    Le traitement administré aux animaux comprenait des cellules dendritiques rendues "tolérogènes" et l’anticorps anti-CD3. Les cellules ont été produites à partir de cellules souches prélevées de la moelle osseuse des souris "receveurs". Après huit jours de culture, une partie de ces cellules sont devenues des cellules dendritiques fonctionnelles, capables d’activer des lymphocytes T allogéniques (c’est-à-dire provenant d’une autre souche de souris). Mais une autre partie des cellules placées en culture, celles qui ont adhéré au fond de la boîte de culture, sont non seulement incapables de stimuler des lymphocytes T allogéniques, mais ils peuvent surtout inhiber leur activation. Ces cellules dendritiques autologues sont dites "tolérogènes"

    . Les anticorps monoclonaux administrés en parallèle à ces cellules ciblent une protéine présente à la surface des lymphocytes T (CD3). "Ces anticorps éliminent les lymphocytes T effecteurs qui détruisent le greffon, ils mais épargnent les lymphocytes T régulateurs qui contribuent à l’établissement d’une tolérance immunitaire vis-à-vis du greffon", explique la chercheuse.

     

    Une immunosuppression de 5 jours seulement

     

    Les chercheurs ont constaté que l’administration de chacun de ces produits, séparément, ne permettait pas de rendre les animaux tolérants à la greffe. En revanche, leur injection conjointe un jour avant la greffe, associée à une nouvelle dose d’anti-CD3 par jour pendant les 4 jours suivant, ont permis la survie du greffon pendant plus de 100 jours, sans autre traitement ! Ceci suggère un effet synergique entre les deux thérapies. "L’effet immunosuppresseur des anti-CD3 est transitoire (2-3 semaines). Le stock de lymphocytes T se reconstitue par la suite, mais les nouveaux lymphocytes sont incapables d’éliminer les cellules du greffon. Nous avons montré que les lymphocytes T régulateurs, qui n’ont pas été éliminés par les anti-CD3, se retrouvent dans des proportions augmentées. Nous supposons qu’ils interagissent de manière privilégiée avec les cellules dendritiques tolérogènes. Ces dernières présenteraient les antigènes des cellules du greffon aux lymphocytes T régulateurs, qui contrôleraient et inhiberaient alors durablement l’activation des lymphocytes T effecteurs contre la greffe. Il s’agit d’un effet spécifique à la greffe, à priori sans conséquence sur l’efficacité du système immunitaire contre des infections ou des cancers", selon la chercheuse.

     

    Bientôt pour l’homme ?

     

    Il est maintenant tentant de tester une telle stratégie chez l’homme. D’autant plus que les deux composantes du traitement sont deux produits actuellement en développement clinique. Les cellules dendritiques autologues tolérogènes font actuellement l’objet d’un essai clinique de phase I dans le contexte de greffes rénales (essai européen "the ONE study") et peuvent être produites de façon conforme aux normes imposées par les autorités de santé. Quant aux anticorps anti-CD3, ils ont déjà été testés chez l’homme dans le traitement de maladies auto-immunes, notamment celui du diabète de type I dans des essais de phase II et III. "Si nos résultats expérimentaux sont très encourageants, il faudra bien sûr adapter le protocole à l’homme. On peut supposer qu’il faudra appliquer un traitement plus puissant : pour maintenir la survie du greffon sur le long terme, on peut envisager des administrations répétées de cellules dendritiques tolérogènes et d’anti-CD3", estime la chercheuse.

     

    Notes

    : *unité 1151 Inserm/CNRS/ Université Paris Descartes, Institut Necker-Enfants Malades, Paris

    **unite 1064 Inserm/Université de Nantes

    Source : 

    MC Baas et coll. J. Immunol, édition en ligne du 24 septembre 2014

    Article et photo de l' INSERM ( Institut National de la Santé et de la recherche médicale )

     


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  • Ingrédients pour deux pots de 250g

    Confiture de tomates à la vanille

    préparation :   25 mn           Cuisson :  1 h

     

    Faite chauffer un grand volume d'eau .

     

    Dessinez une croix à l'aide d'un couteau pointu sur chaque tomate .

     

    Plongez -les 30 secondes dans l'eau bouillante .

     

    Egouttez-les , passez-les sous l'eau froide et pelez-les .

     

    Coupez les tomates en deux, épépinez-les .

     

    Détaillez-les en morceaux .

     

    Placez les tomates avec le sucre et le miel dans une casserole .

     

    Fendez la gousse de vanille en deux .

     

    Ajoutez-la dans la casserole et placez sur feu doux 30 mn .

     

    Retirez et égoutez les tomates .

     

    Poursuivez la cuisson du sirop 20 mn .

     

    Remettez les tomates et laissez cuire encore 10 mn jusqu'à ce qu'elles soient bien confites .

     

    Versez le tout dans des pots stérilisés avec la gousse  de vanille

     

    Fermez-les et retournez-les  aussitôt

     

    Le petit plus

     

    Pour vérifier la cuisson , placez une assiette au congélateur et , lorsqu'elle est bien froide , déposez-y une goutte de confiture .

     

    Si elle se fige , la confiture est prête , sinon , poursuivez  la cuisson un moment

     

     

     


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  • Ingrédients : 4 à 6 personnes

    Gratin speudo- italien

     

    Préparation et cuisson

    Préchauffez votre four à 185 °C ( th 6/7).

    Coupez les aubergines en fines tranches dans le sens de la longueur .

    Badigeonnez-les légèrement d'huile d'olive à petits coups de pinceau .

    Posez vos tranches sur la plaque du four  recouverte de papier sulfurisé

    Glissez-la dans le four bien chaud .

    Faites blondir l'oignon coupé en lamelles dans une poêle avec un peu d'huile

    Sortez les tomates de leurs boites et jetez-les en gros morceaux ( sans le jus ) dans la poêle . 

    Faites-les réduire à feu vif .

    Ajoutez le miel, l'ail pressé 

    Salez et poivrez .

    Coupez les boules de mozzarella en tranches assez fines .

    Etalez une poignée de riz au fond d'un plat à gratin légèrement huilé (destiné à absorber le trop plein de jus )

    Allongez par-dessus les tranches d'aubergine .

    Cachez-les sous les tomates

    Recouvrez le plat de mozzarella .

    Saupoudrez d'origan.

    Salez , poivrez légèrement .

    Arrosez d'un filet d'huile d'olive .

    Remettez au four .

    Laissez gratinez pendant une vingtaine de minutes .


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  • Ingrédients : 6 personnes

    Fondants au chocolat

     

    préparation :  15 mn         Cuisson :  10 mn

     

    Préchauffez votre four à 240 ° C ( th 8)

     

    Faites fondre ensemble au bain-marie 150 g de chocolat et la margarine

     

    Fouettez les oeufs entiers et l'édulcorant jusqu'à ce que le mélange blanchisse

     

    Tapissez six petits moules individuels de papier sulfurisé

     

    Remplissez-les à moitié de cette préparation

     

    Déposez deux carrés de chocolat au centre de chaque moule

     

    Finissez de remplir les moules avec le reste de la préparation

     

    Enfournez et faites cuire 10 mn

     

    Démoulez les fondants

     

    Saupoudrez-les de sucre glace et servez

     


    Bon à savoir

     

    Le chocolat et ses bienfaits

     

    Savourez du chocolat , à croquer ou en pâtiserie , c'est possible !

     

    Toujours de façon raisonnable . Privilégiez plutôt le chocolat noir à 70 % de cacao ( environ 570 calories pour 100 g ) qui contient moins de sucre .

     

    Le chocolat est source de tonus et de bien-être . Si sa consommation modérée se fait dans le cadre d'un diabète suivi et équilibré et d'une activité physique régulière , vous pouvez fondre de temps en temps et en toute confiance pour ce petit plaisir .


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