• Une enfant de Winnipeg qui a reçu une greffe expérimentale de cellules du foie à Calgary en 2012 se porte bien aujourd'hui, indiquent les médecins et ses parents.

    Une petite greffée de cellules du foie va bien 2 ans plus tard (2/2)

    Nazdana Jan est née avec un trouble du cycle de l'urée, un trouble du métabolisme qui s'il n'est pas traité, peut causer des dommages au cerveau, voire la mort. En novembre 2012, la petite a reçu la première greffe de cellules du foie sur un patient au Canada, à l'Hôpital pour enfants de l'Alberta (ACH).

     

    La greffe devait lui permettre de gagner du temps en attendant qu'elle soit assez grande pour recevoir une greffe de foie complète, ce qui a été fait en avril dernier, avec succès.

     

    « La greffe de cellules du foie à Calgary a donné une nouvelle vie à Nazdana et nous a redonné l'espoir qu'elle aura un avenir en santé », a déclaré son père, Jouhar Ali.

     

    Il raconte qu'il était difficile de faire l'aller-retour entre Winnipeg et Calgary chaque mois pour que Nazdana, qui aura deux ans le mois prochain, soit suivie. « Mais elle fait partie de nos vies alors il fallait y aller. »

     

    Depuis Nazdana, les médecins de l'ACH ont pratiqué la procédure sur cinq enfants souffrant du même problème que la petite Winnipégoise. L'un d'eux, originaire de l'Alberta, a lui aussi reçu une greffe du foie en mars.

     

    La maladie du cycle de l'urée fait en sorte que l'ammoniac, naturellement produit par le corps, mais toxique s'il s'accumule, n'est pas transformé en urée, substance inoffensive qui donne à l'urine sa couleur jaune. La maladie est très rare et intraitable.

     

    Les résultats de Nazdana et d'autres enfants encouragent donc le Dr Aneal Khan, qui dirige les recherches sur le traitement expérimental. « Avec le greffon, nous avons remarqué que les cellules réussissent à aider à contrôler l'ammoniac jusqu'à un an et demie après la greffe de cellules », a-t-il expliqué.

     

    Une étude internationale

     

    Quatre des cinq enfants font partie d'un essai clinique mené par la compagnie Cytonet LLC, qui transforme des cellules du foie autrement vouées à l'élimination en cellules greffables.

     

    L'entreprise vient d'Europe, tandis que les cellules greffées viennent de donneurs américains. L'Hôpital pour enfants n'est donc qu'une composante de l'étude, mais avec son expérience, il est le chef de file en Amérique du Nord, selon le Dr Khan.

     

    « À l'avenir, j'espère que nous pourrons rendre la procédure plus sécuritaire et plus tolérable. J'aimerais aussi qu'elle soit étendue à d'autres maladies du foie », confie le généticien. ( Source : ICI Radio-Canada du 25 07 2014)

     


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  •  plaidoyer des parents pour le traitement expérimental

    Bébé greffé de cellules du foie (1/2)

    De retour à Winnipeg, les parents d'un bébé de trois mois qui a reçu avec succès la première greffe expérimentale de cellules du foie au Canada plaident pour l'essai du traitement expérimental, à défaut d'un remède connu.

     

    La petite Nazdana et sa famille sont rentrées chez elles durant le week-end, après que la petite eut subi l'opération à Calgary.

     

    L'enfant est née avec un trouble du cycle de l'urée, une maladie génétique qui empêche l'ammoniac produit par un excès de protéines d'être transformé par le foie en substance inoffensive. Cela crée une accumulation qui peut entraîner des séquelles au cerveau.

     

    Il n'existe aucun remède pour l'instant et cela explique pourquoi le père, Jouhar Ali, a opté pour le traitement expérimental.

     

    « C'était une décision difficile, mais je n'avais pas d'autres choix. Elle [Nazdana] serait toujours demeurée à risque si je n'étais pas allé à Calgary. Je suis très heureux de ma décision aujourd'hui », a confié l'homme lundi.

     

    Le Dr Aneal Khan, membre de l'équipe qui a accompli une série de greffes de cellules du foie, renchérit. « Je trouvais que le statu quo n'était pas satisfaisant pour la vie de nos patients. La plupart des patients qui survivent ont des séquelles neurologiques », a-t-il expliqué.

     

    M. Ali désire profiter de l'attention médiatique portée à sa petite fille pour inviter d'autres parents à faire comme lui.

     

    « S'ils ont la chance de faire une greffe, ils devraient le faire et ne pas avoir peur. Le résultat est devant nous en ce moment. Vous pouvez voir ma fille, elle a l'air tout à fait normale et n'a plus l'air malade », a-t-il fait valoir.

     

    La petite Nazdana doit encore prendre plusieurs médicaments par jour. Elle continuera à être suivie par l'équipe du Dr Khan jusqu'à ce qu'elle pèse un peu plus de sept kilos.

     

    Ce n'est qu'à ce moment qu'elle pourra recevoir la greffe d'un nouveau foie, mais pour M. Ali, cette intervention est déjà une bénédiction.

     

    Quelque 50 bébés naissent chaque année au Canada avec un trouble du cycle de l'urée, selon l'Hôpital pour enfants d'Alberta. (Source : ICI Radio-Canada du 03 12 2012)


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    Ravissantes et fragiles , ces fruits sont des bijoux précieux qu'on peu dervir très simplement , dans un écrin d'osier

     

     

    Framboises et mûres , deux jolies cousines

    On aime chacune pour ce qu'elle est . Mais le rouge de l'une et le noir bleuté de l'autre font un beau et savoureux mélange

     

     

    Qui s'y frotte , s'y pique ... avec délices

     

    Parmi les baies sauvages , petits charnus à plusieurs graines , ces deux- là sont des d'oeuvre gustatifs . Appartenant au même genre botanique , rubus ( << ronce en latin >> ) , elles s'épanouissent toutes les deux sur des tiges hérissées d'épines . Ce qui n'a jamais dissuadé personne ; elles étaient déjà au menu des premiers chasseurs- cueilleurs de la préhistoire ! Et avec des ronciers dispercés ur tous les continents et sous toutes les latitudes , elles régalent la planète entière depuis la nuit des temps .

     

    Enfin , sachez qu'il y a mûre et mûre ! Le même mot désigne en effet le fruit de la ronce et celui du mûrier , l'arbre à vers à soie , d'un tout autre genre botanique . Egalement comestible , il est cependant beaucoup moins consommé .

     

    La nature fait bien les choses

     

    Domestiqués par les romains , la culture du framboisier se répand en Europe et, dès la renaissance , il est présent dans les jardins . Pour autant , la framboise ne fera pas l'objet d'un travail de sélection variétale et qualitative important . Et la mûre sauvage pas davantage . La petite taille , la fragilité et la profusion de ces fruits dans nos campagnes et nos sous-bois montagneux ne stimulent pas les efforts !

     

    Il faudra le chemin de fer et l'amélioration des transports pour qu'enfin se céent , à la fin du XIXe et au XXe siécle, des bassins de production en Rhone-Alpes et dans le Limousin , où la framboise de Concèze est une star .

     

    En volume de production, les chiffes sont forcément à l'échelle des fruits ; pas plus de 350 000 tonnes de framboises dans le monde , chez nous entre 4 et 8 milliers de tonnes selon les années .Mais les statistiques ne mesurent pas les quantités de mûres et de framboises qu'on cueille tous les étés dans les bois ou au bord des chemins ... Et le plaisir qui va avec, encore moins .

     

    Reines des desserts

     

    On s'en rend compte; framboises et mûres sont très délicates . Elles ne supportent ni manipulation ni attente ( un à deux jours au grand maximum ). Les manger le jour même est l'assurance de se régaler et de profiter de leur forte concentration en minéraux et anti- oxydants .

     

    Nature , avec un nuage de chantilly, en salade ouen soupe de fruits rouges mélangés , elles sont d'une fraîcheur exquise . Dans le mousses , coulis , sorbets , gelées ou confiture , leurs parfums se déchainent et, en pâtisserie, tartes en tête , les petites sont géantes

     

    La framboise de Concèze

     

    C'est dans les années 1950 que les prmiers framboisiers ont été plantés à Concèze ,en Corrèze . Cueillies à la main avec une extrème minutie , au rythme d'environ 3 kg par heure, 800 tonnes de framboises y sont produites chaque été . Et en juillet , la fête de la framboise réunit à Concèze les producteurs de fruits , mais aussi de liqueurs , sirops, vinaigres ou confitures de framboises .

     

    La plu grande tarte à la framboise au monde qui a valu à Concèze d'entrer en 1997 dans le guinness des records ( 3,20m de diamètre , 187 kg et 23 800 fruits ! ) y fait toujours sensation . Et on peut se régaler tous les jours de pâtisseries et de nougat glacé au fruit dun pays à l'auberge de Concèze  ( www.framboises.com  ou tel : 05 55 25 61 51 .)

     

     

     

    Framboises et mûres , deux jolies cousines

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  • Sa couleur , sa peau duveuteuse et son goût sucré-acidulé font de lui le plus sensuel et le plus délicieux de nos fruits d'été

     

     

    l'abricot a la cote !

    Associez l'abricot aux amandes , dont la douceur amplifie la saveur du fruit acidulé

     

    Le Roi-Soleil l'a fait briller

     

    Son non latin scientifique , prunus armeniaca , et une persistance dans l'erreur ont très longtemps aissé croire à son origine arménienne . Alors qu'il est venu de Chine, où il poussait à l'état sauvage il y a quatre ou cinq millénaires , par la route de la Soie . Le Proche-Orient le découvre vers le premier siècle avant notre ère, puis les Grecs et les Romains qui , avec les Arabes , vont implanter l'abricotier tout autour du bassin méditéranéen .

    Une fois de plus , c'est la passion du roi Louis XIV, soutenue par l'expertise zélée de son jardinier Jean-Baptiste de la Quintinie , qui va mettre ce fruit en lumière . Ainsi va se généraliser, au XVIIIe siècle , la culture de l'abricotier dans les vergers du sud de la France, des Pyrénées-Orientales à la Provence .

     

    Les petits princes des terroirs

     

    Sur les 2 millions de tonnes d'abricots produites dans le monde, 80 % viennent du bassin méditéranéen et 40 % de l'union européenne , où la France se place au deuxiéme rang derrière l'Italie . La Turquie étant championne du monde . Notre production ( 180 000 tonnes par an ) est concentrée dans le Sud ; provence, vallée du Rhone et Roussillon . Elle assure la diversité avec plus d'une trentaine de variétés, qui se succèdent de mi-mai à mi-septembre , et offrent un goût plus ou moins sucré ou acidulé , colorées en orange uni ou << blushé >>de rouge .

    Pourtant , chaque terroirpossède son chouchou ; le bergeron danslavallée du Rhone, l'orangé en Provence et le fameux rouge du Roussillon . Ce dernier correspond en réalité à quatre variétés anciennes et specifiques du trroir catalan, qui font la beauté et la richesse des vergers au pied du mont Canigou , la << montagne sacrée >>  de la région .

     

    Un seigneur en confiture

     

    Le blush, qui leur donne une mine superbe avant maturité , ne garantit pas leur saveur .Choisissez-les souples ( ni durs, ni mous !) et surtout parfumés . Mangez-les dans les deux jours .Riches en minéraux et bêtacarotène , peu caloriques , l'abricot nous fait grand bien .

    Rôti et parfumé au thym , romarin ou lavande , il accompagne volaille ou poisson . Il fait des merveille en pâtisserie -- surtout lors de la confection de tartes , où on associe son acidité à la douceur des amandes ( en pâte o en poudre ) , pour un résultat gustatif quasi divin et pour empêcher le jus des abricots de détremper la pâte .

    En compote , poché au sirop , en nectar ou en sorbet , il nous régale . Et en confiture , il triomphe . Avec en plus quelques amandes de ses noyaux, c'est l'apothéose d'un destin d'abricot .

     

    Les fêtes de l'abricot , un vrai régal sur la route des vacances

     

    A Rivesaltes (Pyrénées-Orientales) , le 9 juillet . Election de miss Abricot et concours du plus gros mangeur d'abricot ; ( record à battre :27 fruits en 2 mn chrono ! )

    Marché , apéritif musical , dégustations variées , dont l'abricotade , mélange de jus d'abricot et de muscat de Rivesaltes (renseignements : office de tourisme ; 04 68 64 04 04 .)

     

    Au Barroux ( Vaucluse ) le 14 juillet . Les producteurs  locaux exposent leurs abricots de Provence ( variétés orangé et orangered ) , avec des artisans qui en font des confitures , nectars, glaces ou macarons , et trois restaurants proposent des menus aux abricots  ( infos : 06 1154 59 70 . )


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    En vacances , il n'y a pas que les glaces et les chichis pour se rafraîchir et se faire plaisir .

    Les étals des marchés regorgent de produits locaux et de saison qui veulent du bien à votre organisme .

     

     

    Joignez l'utile à l'agréable en vous régalant des produits de saison , qui ont tout bon !

     

     

    Ne vous privez pas des produits saisonniers qui aident à faire le plein de tonus .

     

     

    Faites le plein , c'est le moment !

     

     

     

    Les plateaux de fruits de mer

     

    Ils constituent une recharge en minéraux. Crevettes , moules, huîtres, bigorneaux ...

     

    Bref , tous les mollusques et crustacés vous apportent directement dans l'assiette les bienfaits de la mer. 

     

    En effet , ils sont particulièrement riches en phosphore, sélénium, fluor, magnésium, zinc ... des minéraux et oligoélèments essentiels au bon fonctionnement de l'organisme. Grâce à eux , vous gardez du tonus et un moral au top .

    Et cerise , sur le gâteau , ils s'avèrent très peu caloriques ( mais à condition d'y aller doucement sur la mayonnaise en accompagnement ...)

     

     

    Les bienfaits des plaisirs de l'été

     

     

     

    Les fruits colorés du marché

     

    Ils sont bourrés d'antioxydants . Framboises, abricots ... L'été est la saison des amateurs de fruits gourmands et colorés .

     

    Ils doivent leurs teintes à leur richesse en pigments antioxydants ( caroténoïdes, polphébols...) pensez à varier les couleurs !

     

    Leur rôle: lutter contre les radicaux libres pour ralentir le vieillissement de la peau et protéger des maldies cardiovasculaires ou de certains cancers .

     

    Les bienfaits des plaisirs de l'été

     

     

    Les sardines et les poissons à la plancha

     

    Ils apportent eux , de bons acides gras . En bord de mer, profitez de produits ultra frais et altrnez entre poissons maigres (bar, cabillaud, saint-pierre... ) , moiins caloriques , et poissons gras ( anchois, sardine, maquereau, saumon  ...) .

     

    Ces derniers sont plus riches en bons acides gras poly-insaturés de type oméga 3, indispensables pour protéger coeur et artères et avoir un cerveau << huilé >>   ( ils boostent le moral, la mémoire , etc ...) .

     

    Mais attention à la cuisson .

    Les bienfaits des plaisirs de l'été

     

     

     Le petit plus bon à savoir

     

    pour ne pas perdre de kilos , évitez de passer l'été en paréo !  Des études ont montré , en effet , que porter des vétements amples pousse à manger davantage .

     

    Pour ne pas avoir de mauvaise surprise à la rentrée , il est conseillé d'enfiler de temps en temps un pantalon qui rappelle à l'ordre ...Si besoin

     


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  • Ils donnent bon goût et bonne mine aux salades et brochettes , ratatouilles et piperades qui enchantent nos repas d'été .

    Les poivrons , des petits rois hauts en couleur

    Optez pour le  mélange des couleurs splendide et savoureux en sachant que le vert immature est plus ferme et amer .

     

    Le plus doux des piments

     

    Dans la famille des plantes solanacées , les poivrons sont du genre capsicum , celui des piments ! Cultivés depuis au moins 5 000 ans au Mexique et en Amérique du Sud , ils sont introduits en Europe au XVe siècle à la faveur des expéditions des conquistadors , sous leurs forment les plus piquantes . Ils ont fini par s'adoucir à la fin du VIIIe siècle , et à s'imposer tout autour du bassin méditéranéen , où ils trônent royalement en cuisine .même s'ils sont à zéro , sur l'échelle de Scoville ! Cet instrument de mesure de la force des différentes variétés de piments , créé en1912 , place le paprika juste au-dessus et notre piment d'Espelette au niveau 4 . En haut de l'échelle , les piments de Cayenne , oiseau , tabascoou habanero, sont les plus volcaniques , tout en restant comestibles . D'autres , encore plus concentrés en capsaïne , sont réservés à nos pires ennemis ... Ils sont d'ailleurs utilisés dans les bombes aérosole de défense .

     

    Du Pays Basque à la Provence

     

    << Piment >> partout ailleurs malgré sa douceur , c'est sous le nom de poivron qu'on le connaît chez nous et qu'on l'adore . Plus gros et charnus que les petits enragés , ils sont de forme carrée, rectangulaires ou plus pointues ,en triangle .

     

    En France , qui joue petits bras en volume de production (16 000 tonnes ) très loin derrière la Chine , championne du monde , et l'Espagne , première d'Europe , le poivron est la muse qui a inspiré plusieurs recettes de notre patrimoine gastronomique . Dans le Sud , d'ouest en est , qui en cultive plus de 50 % , c'est la variété de leurs couleurs qui donne tant d'éclat aux piperades basquaises , petits farcis et ratatouille niçoise . Soit dit en passant jaune, orange et rouge étant les teintes de la maturité , comme le violet ou le brun de nouvelles variétés , les poivrons verts sont ceux cueillis avant d'avoir changé de couleur .

     

    Cru ou cuit , faites-lui la peau !

     

    Peu calorique , riche en vitamines et antioxidants , ce roi de l'été se garde bien 8 jours dans le bac à légumes. En plus des graines , il faut éliminer la peau pour les rendre plus digestes . Après cuisson , c'est facile , et avant de les manger crus en salades , prenez un économe pour les peler soigneusement  . Leur mariage avec tomates et légumes méditéranéens ( ratatouille, tian et piperade ) reste du bonheur . Autres réussites : farcis ou grillés et marinés à l'ail et huile d'olive . Pensez aussi à les enfiler en jolie brochette , avec viande ou poisson !

     

    Chouchou du Pays Basque

     

    Le poivron est le pilier de ses plats les plus emblématiques ; poulet basquaise, piperade et axoa ( ragoût de veau ) . Comble du raffinement , il y figure en deux couleurs , le rouge et le vert , qui sont aussi celles du drapeau basque .  Et s'associe au piment d'Espelette , produit local mondialement connu , dont la fête ; les 25 et 26 octobre , est le plus gastronomique des rendez-vous de la région.

     

    Pour en savoir plus :

     

    ofiice du tourisme :  05 59 93 95 02


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  • Valeur nutritionnelle :  59 calories par personne

     

    Ingrédients :   8 personnes

     

    400 g  de céleri-rave

     

    400 g d'épinards hachés

     

    450 g de carottes

     

    4 blancs d'oeufs

     

    coulis de tomates

     

    feuilles de menthe

     

    noix de muscade

     

    sel et poivre

     

    Préparation :  25 mn          Cuisson :  50 à 55 mn

     

    Pelez et lavez les légumes

     

    Hachez-les grossièrement puis faites-les cuire à la vapeur séparément

     

    Retirez du feu et laissez tiédir

     

    Réduire le céleri-rave en purée

     

    Assaisonnez et incorporez deux blancs d'oeufs

     

    Procédez de la même façon pour les carottes

     

    Assaisonnez les épinards avec sel , poivre et noix de muscade

     

    Dans un moule à cake à revétement antiadhésif

     

    Alternez les couches de pures de légumes

     

    Mettez à cuire 30mn au bain-marie , au four à 240° C (th 8)

     

    Retirez du four , laissez tiédir et démoulez

     

    Servez tiéde nappé du  coulis de tomate auquel vous aurez rajouté les feuilles de menthe


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  • Un chirurgien dévoile une vidéo époustouflante retraçant étape par étape la transplantation complète d’un coeur

     

    La transplantation cardiaque est l’une des opérations chirurgicales les plus impressionnantes et complexes qui soit. Elle consiste à découper le coeur malade, à le retirer de son hôte et à le remplacer par un autre muscle cardiaque en bonne santé. Pour vous rendre compte de la prouesse que représente cette intervention, un chirurgien a partagé cette vidéo à couper le souffle. Âmes sensibles, s’abstenir ! Les maladies cardiaques représentent la plus importante cause de décès sur la planète. Il existe environ 50 000 demandeurs de transplantation mais seulement 5000 sont réalisées chaque année. La première a eu lieu en 1967 au Cap, en Afrique du Sud. Le coeur d’une femme de 25 ans morte dans un accident a été donné à un homme de 55 ans. Il est malheureusement mort 18 mois plus tard. Le rejet était très courant lors des opérations les plus anciennes, menant leurs hôtes à la mort seulement quelques semaines plus tard. Lors des décennies qui ont suivi, les techniques ont évolué et ont augmenté l’espérance de vie des patients. Aujourd’hui, les receveurs ont une chance de survie de 90 % après un an et de 74 % après 5 ans. Les recherches impliquant le remplacement d’organes à partir de cellules souches étant en train de progresser, ces chiffres vont encore augmenter à l’avenir. Les receveurs potentiels subissent plusieurs évaluations psychologiques ainsi que des tests pour connaître leur type de tissu afin de minimiser les chances de rejet. Une fois qu’un coeur est disponible, on choisit l’heureux élu parmi une sélection de facteurs, incluant le temps passé sur liste d’attente et la proximité du donneur.

     

     

    Lorsque tout le monde est prêt, le receveur est mis sous anesthésie générale et connecté à une machine cardio-pulmonaire. Une fois que le sang a été totalement retiré du coeur, ce dernier est extrait et remplacé par le coeur du donneur. Celui-ci est recousu et le sang est renvoyé à l’intérieur. Le muscle est ensuite soumis à des chocs électriques pour reprendre ses battements. Avant de refermer le corps, le chirurgien vérifie si le coeur fonctionne bien et n’a pas de fuites.

     

     

     

     

    Cette vidéo nous a vraiment subjugués. Il est vraiment incroyable de voir un coeur se faire totalement extraire pour être changé par un autre. Certains à la rédaction ont éprouvé quelques difficultés à tout regarder jusqu’à la fin, mais nous avons été très heureux de voir que l’opération s’est bien déroulée au final. Si par malheur vous perdiez la vie, seriez-vous heureux de savoir que vos organes ont sauvé d’autres personnes ?


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  • Endive ou chicon , notre << perle du Nord >>, véritable star , préfère l'ombre à la lumière, pour mieux briller dans le monde !

    Endives blanches              et endives Carmine

    Endives blanches et endives Carmine

    Leur blancheur garantit leur douceur . Ainsi , conservez-les  à l'abri de la lumière , sous peine de les faire verdir .

     

    A l'origine , une histoire belge

     

    Elle est récente et due au hazard , en Belgique ,lors des troubles de la révolution de 1830 , un paysan quitte sa ferme en abandonnant dans sa cave des racines de chicorée recouvertes de terre . A son retour , il les retrouve parées d'un bourgeon de feuilles blanches . Il goûte et trouve ça bon .

     

    Une future star est née ! l'étrange processus perfectionné par Mr Brésiers , botaniste en chef du jardin de Bruxelles , devient , à partir de 1850 , une culture de pointe . On parlera même d' << or blanc >> pour qualifier l'endive, appelée également chicon , witloof  ( feuille blanche en flamand ) o encore chicoréé de Bruxelles quand les premières arrivent vers 1880, dans les halles de Paris

     

    A l'arrivée , une passion française

     

    Si l'endive est récente , la chicorée est tès ancienne et ses usages méritent d'être précisés : avec sa racine , grillée ou torréfiée , on fait depuis le XVIIe siècle un ersatz de café dans les pays du nord de l'Europe . Et sa culture en plein champ donne naturellement des salades vertes ou rouges ( barbe de capucin , pain de sucre , trévise ) .

     

    L'endive exige plus d'attention . Semée au printemps et cultivée comme la carotte , le temps que les racines atteignent 4 cm de diamètre , elle est déterrée en octobre-novembre et conservée en chambre froide .Puis c'est l'opération magique du << forçage >>, qui consiste à ranger les racines très serrées pour obtenir des bourgeons denses , dans des bacs contenant une solution nutritive. Maintenue à 20°C  et dan le noir pendant vingt et un jours , l'endive blanche fait son apparition .

     

    Ce légume pas comme les autres passe la frontière vers 1920 et s'installe dans le nord de la France , où , il devient un fleuron de la culture ch'ti . Avec près de 115 000 tonnes par an , le Nord- Pas-de-calais et la Picardie sont les premiers producteurs d'endives du monde .

     

    Crue ou cuite , elle a bonne mine !

     

    Choisissez-la bien blanche , à peine ourlée de jaune , et gardez-la à l'abri de la lumière .Riche en vitamines et en fibres , l'endive est très légère en calories . Et vite prête ; il suffit d'enlever les premièrs feuilles et de creuser le trognon .

     

    En salade , son croquant fait merveille , surtout avec des noix , des pommes et du fromage persillé .

     

    Braisée ou rissolée avec oignon, jus de citron et un peu de sucre , elle est fondante .

     

    Et gratinée , au jambon avec une sauce béchamel , elle devient irrésistible , même pour les enfants .

     

    Surveillez l'arrivée sur les marchés

     

    Déut mars , de l'endive Carmine , avec ses jolies feuilles panachées de rouge . Résultat d'un croisement entre notre perle du Nord et deux chicorées d'origine italienne à feuilles rouges , elle se déguste crue , en salade , et elle assure côté décoration .


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    Ingrédients : 4 personnes

     

    2 aubergines

     

    100 g de gruyère râpé

     

    50 g de beurre

     

    2 C à soupe de farine

     

    1 verre de lait

     

    sel et poivre

     

     

    Coupez les aubergines en deux dans le sens de la longueur

     

    Passez-les au four 20 mn à 180 ° C (th6) pour ramolir la chair

     

    Sortez-les et laissez refroidir

     

    Creusez-les pour récupérer la chair en prenant son d'en laisser un peu sur la peau

     

    Coupez la chair en petits morceaux

     

    Préparez votre béchamel en faisant fondre le beurre dans une casserole

     

    Ajoutez la farine et tournez

     

    Versez le lait et remuez jusqu'à bonne consistance

     

    Salez et poivrez

     

    Mélangez avec la chair et versez dans les moitiés d'aubergines

     

    Saupoudrez de gruyère râpé

     

    Mettez au four à 180° c (th 6) pendant 30 à 45 mn pour faire gratiner .

     

     

     


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