• Tout allait mal . Les médicaments antirejet laissaient l'organisme sans défense contre les microbes . Une infection vaginale se déclara , accompagnée d'hémoragies . Quelques jours plus tard , ce fut une pneumonie . Linda avait 40°,9 et frissonnait si violemment que son lit en était ébranlé et qu'il fallait la tenir . Les antibiotiques n'agissaient guère . On lui administra des plaquettes sanguines pour aider à la coagulationnormale du sang et des globules blancs pour lutter contre l'infection . C'est moi qui donnais des plaquettes , tous les jours . L'intervention durait quatre heures ; on commençait par introduire mon sang dans une centrifugeuse pour en extraire les plaquettes , après quoi on me restituait sang et plasma . Cela dura une demaine au cours de laquelle je donnai deux litres de sang ; ensuite , Jan prit la relève . Rusty, qui était arrivé entre-temps avec son frère fut choisi pour donner les globules blancs indispensables . Il subit pendant une semaine des interventions analogues aux miennes

     

    Et cependant , malgrè nos efforts , Linda déclinait de jour en jour . La nuit , nous avions peur d'entendre sonner le téléphone . Puis un jour , le Dr Klock nous annonça , tout joyeux , que les poumons se dégageaient. Les globules blancs de Rusty l'avaient sauvée .

     

    - Je peux bien vous le dire maintenant , nous avoua-t-il , c'est la pneumonie qui tue plus de la moitié de nos malades .

     

    Mes cheveux commencèrent à tomber par poignées , j'en avais dans mon lit , dans les yeux, dans la bouche , dans mon assiette, partout . C'était affreux . J'avais l'air d'un monstre . Je les ai tous perdus , mais heureusement ni mes cils ni mes sourcils .

    Tous les jours se ressemblaient , s'estompaient  daans un mélange de souffrances : diarrhées, comprimés, piqûres, ponctions lombaires , rayons se succédaient et , quand je gardais deux goegées de coca-cola , on me récompensait d'un sourire . La nuit , je dormais d'un sommeil agité . Le Dr Klock redoutait autant que moi les ponctions lombaires que l'on pratique en insérant un long trocart entre les vertèbres . Mon dos , constellé de petits trous qui, chacun, m'avait arraché un hurlement , ressemblait à un paysage lunaire .Le vingt et unièmr jour , le Dr Klock tenta une fois de plus de prélever de la moelle dans ma hanche , et, à travers mes sanglots habituels , je l'entendis s'écrier :

    - Aujourd'hui , ça y est ! il y en a !

     

    La bouillie sanguinolente que le médecin étendit sur ses lamelles n'aurait rien signifié pour un profane , mais pour nous c'était le signe d'un miracle ; l'examen révéla que la moelle greffée prospérait et qu'elle ne contenait aucune cellule leucémique .

     

    Par un bel après-midi ensoleillé , papa prit une glace accrochée au mur et ladisposa de manière à lui faire refléter le paysage qu'on voyait à travers la fenêtre . La chaîne descascades , couverte de neiges eternelles , étincelait au soleil , et son sommet avait l'air d'une gigantesque glace arrosée de sirop de myrtille.

    Au bout d'un mois , je pus m'asseoir au bord de mon lit , pis dans un fauteil à côté , pendant quelques minutes . Je ne gardais toujours aucune nourriture et on m'alimentais au moyen d'une sonde insérée dans la veine sous-clavière . Enfin , je retrouvais mon fauteil roulant et , un jour ,,on me conduisit dans une salle d'où je pus apercevoir , par la fenêtre , notre appartement . Mais le spectacle qui me ravit par-dessus tout fut celui du mont Rainier dont la cime se perdait dans les nuages , à 4 400 mêtres d'altitude .

     

    Après avoir passé six semaines à Seattle , je regagnais Nashville , et le 7 juillet je reçus la plus belle lettre de ma vvie : <<Cher papa , j'en ai tellement assez d'être ici que j'ai envie de hurler . Quelle joie ce sera de rentrer à la maison ! J'ai l'impression de mourrir de faim , mais je suis toujours incapable de rien manger , je t'aime . Linda >> Chaque fois qu'elle avait frisé la mort , Linda avait soutenu qu'elle allait bien . Cette fois , elle se plaignait , j'étais sûr qu'elle allait mieux .

     

    A mesure que nous approchions tout doucement du jour fatidique , le centième après l'intervention , celui où elle quitterait l'hôpital s'il ne restait aucune trace de leucémie , la tension devenait intolérable . Chaque journée semblait plus longue que la précédente ...89...90...91... Enfin l'attente se termina . Jeannine m'appela et s'écria :

    - Le dernier prélévementa eu lieu aujourd'hui . Tout va bien . Nous serons à la maison le 21.

     

    A la date prévue , l'avion qui ramanait Linda s'immobilisa sur l'aérodrome de Nashville à 21 h 30 . Devant une énorme pancarte portant les mots <<BIENVENUE A LINDA ET JAN HONICKER!>>, quantité d'amis fidèles criaient <<hourra !>> , pleuraient et applaudissaient . Linda , en minijupe et en sandales , apparut dans l'encadrement de la porte et , sous son masque bleu stérile , je vis sedessiner un large sourire . Les larmes aux yeux , suffoquant de rire , elle descenfit lentement la passerelle et s'écroula dans mes bras . Nul besoin de paroles ; elle se retrouvait chez elle , elle avait gagné.

     

    Le 11 mai 1974 , , trois cent soixante-cinq jours après la greffe , la famille Honicker s'est assise autour de la table de la salle à manger . On a allumé une bougie , tout en haut , au sommet d'un énorme gâteau , et tout le monde a chanté en choeur ; <<joyeux anniversaire !joyeux anniversaire à notre chère Linda !>>. Et la formule était appropriée: Linda était bel et bien née une seconde fois , un an plus tôt , jour pour jour .

     

    En août 1974, Linda subit pendant huit jours toute une série d'examens à Seattle . Les résultats ont prouvé qu'elle était en parfaite santé . Elle travaille , mène une vie normale , et ne prend d'autre médicament qu'un banal complexe de vitamines et de minéraux . Nul ne peut présumer l'avenir , bien entendu , mais , selon tous les critères médicaux , Linda semble bien avoir triomphé de la leucémie .  (source : reader's digest 1974)

     


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  • Quand Linda arriva à Seattle , elle était dans un état critique , et les médecins crurent ses jours comptés . L'intervention étant prévue pour le 11 mai,je comptais travailler jusqu'au 10 et prendre l'avion ce jour-là . Mais le 8, on me prévint que les cellules malignes avaient envahi le cerveau et que Linda avait des convultions .On cragnait de la voir tomber dans le coma . Je me précipitais chez moi pour prendre la petite valise déjà prête et confier à des amis mes deux fils de quatorze et quinze ans , Cliff et Rusty. Seatle était à près de six heures d'avion . Comme tous ceux qui se croient agnostiques , je ne prie que furtivement ...Au cours de ces longues heures , je l'ai fait .

       linda et dolph honicker

    La nuit tombait et il pleuvait quand le taxi me déposa à l'appartement . J'y laissai ma valise et courus à l'hôpital tout proche où le centre de la leucémie des adultes occupe deux étages . Jeannine avait essayé au téléphone de me décrire l'étonnante familiarité qui y régnait  : on  demandait volontiers aux familles des malades de porter les prélévements au laboratoire pour soulager le personnel , tout le monde  (du médecin au portier ) s'appelait par son prénom ; deux salles de repos étaient affectées à la foisaux malades , à leur famille et au personnel ; les petits chambres étaient coquettes ; bref , tout cela dégageait une merveilleuse atmosphère d'espoir en dépit des menaces d'une mort presque certaine .

     

    on nous donna un masque et nous entrâmes , Jeannine et moi , dans la chambre de Linda . Jan , les yeux rouges et gonflés ,, aidait l'infirmière à maintenir sa soeur qui se débattait sur son lit . J'appelai Linda par son nom , doucement , puis un peu plus fort , sans obtenir de réaction . Elle avait le regard fixe , égaré, et poussait des grognements tout en gémissant . Son lit était trempé de sueur . Désemparé , je demandais au Dr John Klock ,de San Francisco ,à qui Linda était spécialement confiée :

    - Qu'est-ce que je peut faire  ?

    Il m'emmena dans le couloir . C'était un homme aux traits fins et aux cheveux bruns un peu clairsemés; il n'avait que vingt-sept ans , mais , fatigué, il semblait un peu plus âgé . Il allait , je l'appris plus tard , rester trente-huit heures d'affilée au chevet de ma fille

    - Je vais vous expliquer , me dit-il avec calme , ce qui s'est passé et ce que nous espérons réussir . Hier soir, les cellules leucémiques ont envahi le système nerveux central . Nous avons irradié le côté gauche du cerveau ce matin . Demain matin , ce sera le tour du côté droit . Nous espérons détruire ainsi les cellules envahissantes sans provoquer d'effets secondzires tels que la cécité ou des lésions cérébrales .

     

    Il me décrivit ensuite , dans les grandes lignes , le processus de la greffe .On allait administrer à Linda de fortes doses d'un médicament extrêmement toxique qui tue les cellules cancéreuses , cela dans un dessein de réduire à 5% la proportion de cellules leucémiques contenues dans son organisme et d'arrêter le fonctionnement du système immunitaire ,, de manière que la moelle étrangère entre dans le mileu propice à son développement .

     

    Le vendredi 11 mai , au matin , elle recevait , par deux sources de cobalt, 1 000 rads d'irradiation totale du corps , ce qui constituait une dose mortelle et aurait pour effet d'arrêter le fonctionnement de sa propre moelle épinière .

     

    Pendant ce temps, Jan , que l'on avait choisie comme donneur en raison de son groupe sanguin et de son type tissulaire exactement semblables à ceux de Linda , subirait une intervention chirurgicale . On prélèverait  sur elle , au trocart , et en huit endroits du bassin , de 400 à 800 millilitres de moelle et de sang qui seraien ensuite filtrés et injectés , lentement , dans la veine de Linda .La malade resterait deux à trois semaines dans un état critique , ,avant que l'on sache si la greffe était tolérée . Au total , il faudrait cent jours de soins constants à l'hôpital pour s'assurer qu'aucune cellule leucémique n'avait résisté au traitement .

     

    Le 10 mai , une autre malade entra dans ma chambre et me dit

    - Ils vont vous emmener au bloc du deuxième sous-sol , là où est leur énorme machine au cobalt . Ils vous observeront sur un écran de télévision . On vomit toujours . Alors , quand vous en aurez envie , levez la main et la machine s'arrêtera ...

     

    J'étais décidée à ne pas vomir et j'ai tenu le coup . J'ai paraît-il , été la première . Mais , mon dieu!que je l'ai payé cher une fois revenue dans ma chambre ! Le moindre mouvement , et les nausées reprenaient ...

     

    A peine m'avait-on remise dans mon lit qu'une infirmière apporta un sac en plastique contenant un liquide rosé , la moelle de Jan . Et moi je la regardais fascinée , accrocher à un support au-dessus de moi ce sac plastique ; puis la moelle commença à descendre , goutte à goutte , dans le long tube en plastique et pénétra dans ma veine .

     


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  • L'émouvant combat d'une jeune fille de dix-neuf ans .

     

        Histoire vraie relatée  par Linda Honicker et Dolph Honicker

     

    Le diagnostic m'a été révélé par un jeune interne de l'hôpital universitaire Vanderbilt de Nashville , dans le Tenessee .

    - Linda me dit-il , votre maladie consiste en un excès de globules blancs . 

    - A-t-elle un nom, cette maladie ? demandai-je

    - Oui, la leucémie .

     

    Le soir de son entrée à l'hôpital , le 1er février 1973, la numération globulaire de notre fille indiquait 98 000 globules blancs alors que la normale est entre 5 000 et 10 000 .

    Notre médecin de famille , le Dr Ralph Massie , nous expliqua ce qu'il en était , à ma femme Jeanine et à moi ;

    - Linda est atteinte de leucémie myéloïde aiguë . C'est extrémement grave . Combien de temps pourrons nous la prolonger ? quelques mois , un peu plus peut-être , il est possible qu'avec  la chimiothérapie nous obtenions une rémission passagère , mais Linda va être très, très malade , et vous acceuillerez sa fin comme une délivrance .

     

    Le mal s'était déclaré de façon brutale . Pendant tout l'autmone , chaque fois qu'elle était venue de l'univerdité en congé à la maison , elle avait paru à bout de forces . En d"cembre , ses mains s'étaient misent à trembler . Elle avait consulté un neurologue , mais le traitement prescrit n'avait pas empéché le tremblement de s'aggraver . A la fin de janvier , elle nous avait prévenus par téléphone qu'elle était malade depuis huit jours . La grippe , sans doute . Elle ne se sentait pas bien du tout .

     

    C'est alors que les médecins découvrirent l'anomalie de sa formule sanguine .

     

    Le Dr John Flexner , professeur à l'hôpital Vanderbilt , qui avait pris mon cas en main , nous convoqua dans son cabinet ,mes parents et moi . Comme j'était trop faible pour tenir sur mes jambes , on m'y conduisit en fauteil roulant . Nous nous serrions la main très fort , maman et moi, en l'écoutant . L'avenir s'annoçait mal .

     - N'y a -t-il pas le moindre espoir docteur ?

     - Les chercheurs du monde entier travaillent sur la leucémie aiguë , madame , mais aucun traitement efficace n'a encore été mis au point . Franchement , à l'heure actuelle , j'estime qu'il faudrait un miracle .

     

    Mes parents ont beau être fort énergiques (maman dirige à Nashville un centre d'acceuil pour les nouveaux venus , et papa est chef des informations d'un quotidien du matin ) , ils se sont mis à pleurer ; moi aussi , mais pour eux . Je ne voulais pas qu'ils soient malheureux à cause de moi . Aussi , je leur ai dit , et je les ai chargés de dire à tous ceux qui viendraient me voir : J'étais sûre que je n'allait pas mourrir . 

     

    Malgré le traitement chimiothérapique auquel on la soumit , Linda perdit près de 15 kilos en quelques semaines ; elle avait de la fièvre ; elle souffrait de maux de tête , de nausées constantes , et ses gensives saignaient . Jeannine et mi ne dormions plus ; et c'est pendant l'une de ces pénibles insomnies que , du fond de mon désespoir , une idée me vint . Les greffes du coeur ou du rein sont courantes actuellement , me dis-je , pourquoi ne ferait-on pas des greffes de moelle osseuse ? Et dans le tourbillon de mes pensées je voyais déjà les médecins chassant par injections d'alcool la moelle de Linda pour la remplacer par la mienne .

    Par une coïncidence que je ne me suis pas expliquée , c'est exactement cette intervention que le Dr Flexner proposa le lendemain à ma femme . On en avait déjà , lui explique-t-il , pratiqué un certain nombre au centre de la leucémie des adultes de l'université de Wachington , à Seattle , centre fondé en 1969 par le Dr Donnald Thomas . L'infection , le phénomène de rejet ou une rechute avaient eu raison de la plupart des malades , mais quelques uns avaient survécu; il était trop tôt pour savoir ce qu'ils deviendraient à long terme , et le risque était encore grand que la leucémie finisse par gagner .

    - Néanmoins , ajouta-il , si Linda était ma fille , je l'enverrais à Seatle .

     

    Sur le moment , l'idée d'une greffe ne me dit rien qui vaille parce que , certains jours, je me sentais mieux . On m'autorisa même à rentrer deux semaines à la maison entre deux traitements . Mais , en fin de compte , je me laissai convaincre par le Dr flexner , etle 4 mai 1973 le centre de Seatle nous prévint , au téléphone ,,que tout était prêt .

    Papa loua un appartement près de l'hôpital . Maman et Jan , ma soeur de dix-huit ans , prirent l'avion avec moi. Le Dr Eliane Gluckman m'examina la première , m'expliqua le traîtement extrêmement éprouvant que je devait subir et me prévint que si je survivais, je serais stérile . Je trouvais que c'était payer peu cher pour avoir la vie sauve . Mais quand j'appris que les doses massives de médicaments et de radiations qu'on m'infligerait feraient tomber tous mes cheveux , mes beaux cheveux longs jusqu'aux épaules , je sanglotais .

     


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  • Des chercheurs français, sous la coordination du Pr Xavier Jouven du Centre de Recherche Cardio-vasculaire de Paris (Unité mixte Inserm-Université Paris Descartes), ont réussi, grâce à une approche mathématique « sans a priori », très innovante en médecine, à isoler un nouveau type de rejet aigu dans la greffe rénale : le rejet vasculaire médié par les anticorps.

    Le pronostic peut en être transformé à l’aide d’un traitement spécifique par des anticorps anti-HLA. Cette découverte ouvre un vaste champ de recherche en transplantation d’organes mais aussi en pathologie cardio-vasculaire.

    Sans l’a priori de l’humain

    Cellulaire ou humoral, c’est-à-dire médié par les cellules T ou par les anticorps, le rejet aigu était classifié de façon binaire jusqu’à présent. À partir des données de 302 patients en rejet de greffe rénale suivis pendant 6 ans dans 3 centres parisiens (Necker, Saint-Louis, Foch), l’équipe a fait ressortir ce 3e profil inconnu jusqu’à présent. Cette découverte va révolutionner (c’est acté) la classification internationale dite « de Banff » lors du prochain congrès programmé en août 2 013 au Brésil.

    « Si les lésions vasculaires sont décrites depuis longtemps, on en avait attribué la responsabilité entière au rejet de type cellulaire, explique le Dr Alexandre Loupy, néphrologue à l’hôpital Necker (Paris) et investigateur principal avec le Dr Carmen Lefaucheur. Maintenant on sait pourquoi certains sont résistants au traitement conventionnel par corticoïdes : il s’agit en fait de rejets médiés par les anticorps ».

    Une classification de Banff erronée

    Le rejet vasculaire médié par les anticorps est caractérisé par l’association d’une endartérite et d’anticorps circulants anti-HLA. « Il se trouve que ce type de rejet aigu présente le plus mauvais pronostic, à jeu égal avec le rejet vasculaire médié par les cellules T, souligne le chercheur. Le risque de perte du greffon est ainsi 9 fois plus élevé qu’un rejet non vasculaire médié par les cellules T et presque triplé par rapport à un rejet non vasculaire médié par les anticorps ».

    Avec la classification actuelle de Banff, près de 45 % des rejets vasculaires seraient mal étiquetés. « Le problème, c’est qu’un diagnostic erroné mène à un traitement inadapté, poursuit le néphrologue. Or, il existe un traitement spécifique pour ce type de rejet, les anticorps anti-HLA. Dans nos trois centres, tous les patients présentant ce type de rejet sont désormais traités de la sorte afin de prolonger au maximum la survie du greffon ».

    Ces résultats dépassent largement le champ de la greffe rénale. « Outre la transplantation d’organes, il y a aussi de grandes perspectives pour les maladies cardio-vasculaires, détaille le Pr Loupy. Cette découverte renforce la théorie immunologique dans le développement de l’athérome et de l’athérosclérose » Une équipe multidisciplinaire a d’ores et déjà choisi d’explorer cette voie de recherche au centre de recherche cardiovasculaire de Paris. " information :  Dr Irène DROGOU" (source :lequotidiendumedecin.fr 27/11/2012)

     

     

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  • Valeur nutriionnelle:

    Protéines : 32        Lipides : 14          Glucides : 8               Calories : 286

     

    curry de veau

    Ingrédients :  (6 pers)

    1 kg 500 de noix de veau

    4 C à soupe de curry

    3 gros oignons

    1 yaourt nature

    500 g de tomates

    2 C à café de concentré de tomates

    2 gousses d'ail

    thym

    laurier

    sel et poivre

     

    Hachez les oignons le plus finement possible  et Faites-les blondir dans une cocotte anti-adhésive

    Ajoutez les morceaux de viande et faites dorer sur toutes leurs faces

    Ajoutez le curry en poudre , les tomates coupées en dés, le thym, le laurier , les gousses d'ail,  le concentré de tomate, le yaourt et la moitié du contenu du pot de yaourt en eau

    Salez et poivrez

    Laissez mijoter pendant 1h30 à 2 heures

    Servez avec du riz nature

     


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  • Le bacille de la tuberculose

    Tout de suite , il porta son attention sur la tuberculse , alors l'un des pires fléaux de l'humanité , responsable de 1 mort sur 7 dans le monde occidental . Beaucoup d'éminents médecins de l'époque pensaient qu'elle résultait d'une malnutrition chronique . Koch , lui , était convaincu qu'elle était provoquée et transmise par des bactéries .

     

    Durant des semaines et parfois à raison de dix-huit heures par jour , il travailla dans son laboratoire , seul, n'autorisant personne à s'exposer aux risques d'infection . Au bout de six mois , en examinant sa 271e préparation microscopique , il identifia le bacille de la tuberculose . Afin de prouver que même l'air pouvait le transmettre , il plongea une boîte pleine de souris , de lapins et de cochons d'inde dans un brouillard contenant des germes . Tous les animaux succombèrent .

     

    Le 24 mars 1882, à trente-huit ans , il présenta sa découverte aux éminents spécialistes de la société de physiologie de Berlin . Pour la première fois dans l'histoire de cette institution , aucune discution ne suivit l'exposé .Un des assistants se contenta de déclarer qu'il n'y avait rien à objecter .

     

    Toutefois Koch n'était pas satisfait . Il voulait encore que l'humanité tirât un bénéfice immédiat de son travail . Il exigea que le gouvernement prit des mesures d'hygiène rigoureuses , qu'il informât le public sur les maladies infectieuses , et que tout tuberculeux fût déclaré , afin d'être placé sous surveillance médicale . Le résultat fut qu'en Allemagne le nombre de décès par tuberculose diminua de 50% en vingt-cinq ans .

     

    La bacille-virgule

    Entre temps , une autre maladie faisait parler d'elle : le choléra . En 1883, une épidémie avait éclaté en Egypte . A intervalles plus ou moins rapprochés , ce terrible fléau , venu des Indes , frappait l'Occident . En 1886 , il avait fait près de 115 000 victimes rien qu'en Prusse . A Niemegk , près de Berlin , 1 habitant sur 10 en était mort . Résolu à en trouver les causes , le gouvernement allemand envoya une mission médicale , dirigée par Robert Koch , à Alexandrie . Là , des singes, des chiens, des chats et des souris reçurent une injection d'échantillons prélevés sur des malades . Les tissus pris sur eux et colorés d'après les méthodes de Koch furent examinés au microscope .  C'est après avoir étudié des centaines de ces coupes que l'équipe identifia le bacille-virgule , agent microbien du choléra .

     

    Koch avec ses collaborateurs (et 50 souris blanches ) , se transporta aux Indes . Il remarqua que le choléra se déclarait souvent dans des localités implantées près de petits étangs faisant tout à la fois office de baignoire , de lavoir , d'égout et de citerne . Quelques expériences permirent de démontrer que la contamination s'opérait par l'eau , les aliments , les vétements : Koch  recommanda que les réserves d'eau soient filtrées et soumisent à des contrôles .

     

    En 1891, le Dr Koch devint directeur du nouvel institut des maladies infectieuses , celui-là même qui porte aujourd'hui son nom . Il put alors se consacrer à l'éradication de diverses maladies dans des régions reculées de l'Afrique , des Indes et du Pacifique . en 4896, quand une terrible épidémie de peste bovine se déclara en Afrique du Sud , il mit au point une vaccination qui sauva 2 millions de têtes .

     

    En 1906, il se rendit dans un groupe d'îles du lac Victoria , dont 20 000 habitants sur 35 000 avaient succombé à la maladie du sommeil . Il conseilla d'incendier les régions infectées par les mouches tsé-tsé , agents de transmission de la maladie ,et prépara un puissant médicament qui , en peu de temps, réduisit le taux de mortalité de 90%.

     

    En 1905, au faîte de sa carrière , il avait reçu le prix nobel de physiologie et de médecine pour ses recherches sur la tuberculose . On érigea des monuments en son honneur , on donna son nom à des rues . On vendit toutes sortes d'objets ( mouchoirs, chopes à bière , pipes) à son effigie , celle du parfait professeur allemand du début du siècle tel que l'on se l'imagine , avec barbe fleurie et lunettes cerclées d'or . Lors d'un voyage triomphal au Japon , on tira un feu d'artifice qui dessina son portrait dans le ciel .

     

    Epuisé par une vie de travail acharné , Robert Koch mourut à Baden-Baden , le 27 mai 1910, d'une défaillance cardiaque . Il laissait en héritage , outre ses découvertes ,une très féconde influence . Ce sont ses continuateurs qui , au cours des années ont identifié les germes  de quantités de maladies (typhus, lèpre, paludisme, diphtérie, tétanos, pneumonie, dysenterie et peste bubonique ) qu'il a été ainsi possible de combattre efficacement . Comme l'a démontré l'enraiement de l'épidémie de choléra en 1974.  Robert Koch continue à bien servir les hommes .  (source : reader's digest de 1977. Article : Clauss Gaedemann)


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  • La preuve

    Ce n'était alors qu'une hypothèse fort controversée , car de nombreux médecins croyaient encore , comme les Grecs et les Romains , que les maladies étaient causées par des miasmes ou des émanations toxyques . Avec son microscope , Koch s'empressa d'explorer cette voie . Il observa le sang d'animaux morts du charbon (maladie mystérieuse qui faisait des ravages parmi les moutons, les cheveaux , les bovins et à l'occasion chez l'homme ), et il découvrit ces bâtonnets épais , les bacilles , que l'on considérait souvent alors comme des <<christaux >> anormaux dus à la maladie . Il se demanda , lui , s'ils n'en étaient pas plutôt la cause .

     

    Il inocula donc à une souris blanche du sang contaminé et constata le lendemain qu'elle était morte et que son sang comme sa rate fourmillaient de bacilles . Il en plaça quelques-uns dans un mileu de culture et , fasciné , les vit se multiplier à une vitesse étonnante . Il avait ainsi la preuve qu'il s'agissait bel et bien d'organismes vivants . Des expériences ultérieures lui permirent d'établir les faits suivants : à basse température ces organismes se transformaient en longs filaments contenant des spores : ces spores étaient capables de rester inactives pendant plusueurs années , dans des pâturages inutilisés par exemple , mais replacées dans le sang chaud d'un animal , elles redevenaient des bactéries vivantes .

     

    Pour pouvoir consacrer plus de temps à ses recherches , Koch céda la majeure partie de sa clientèle à l'un de ses collègues , expiquant à sa femme qu'il s'était mis à << explorer une région encore tout envelopée de mystère >>.

     

    Au bout de trois ans d'expérimentation sur le charbon , il en vint à cette conclusion qu'à un microbe donné correspond une maladie donnée . Avec sa modestie habituelle, il alla présenter ses travaux à Ferdinand Cohn, l'éminent botaniste de Breslau . Ce savant , qui ne croyait guère à priori qu'un médecin de campagne pût faire des découvertes importantes , fut stupéfait et proclama aussitôt qu'un << grand maître de la science est né >>.

     

    Microscope, colorants et photographies .

    Dans son modeste laboratoire de Wollstein , Koch poursuivit son oeuvre . Il y élabora des méthodes tout à fait originales de recherche bactériologique . Par exemple , il eut l'idée d'utiliser les teintures à l'aniline (découvertes récemment et avec lesquelles on coloraient les spécimens mis entre lame et lamelle ) pour rendre les bactéries mieux visibles au microscope .Il constata que les microbes absorbaient avidement les couleurs et prenaient des teintes vives : bleue , rouge, brune ou encore violette .

     

    Retrouvant une passion de jeunesse pour la photographie , il acheta un appareil qu'il monta sur son microscope . Emmy se chargeaît de surveiller le ciel et , dès qu'il était assez couvert pour permettre de prendre des clichés , elle prévenait son mari qui, toute affaire cessante s'empressait d'opérer . Koch avait fini par donner à sa femme le gentil surnom de Wolkenschieber (chasse nuage ). Les résultats qu'il obtint furent satisfaisants , et notre chercheur , enthousiaste , put aussitôt écrire au Pr Cohn que les bactéries apparassaient beaucoup plus nettes en photos qu' à l'oeil nu .

     

    L'esprit toujours en éveil , il s'interessa ensuite à l'infection  des plaies . Médecin militaire , il avait vu beaucoup de soldats en mourrir (pendant la guerre , plus de 75 % des amputés n'ont pu survivre ), et dans les hôpitaux les opérés y succombaient dans la proportion de 40 à 80%. Le chirurgien anglais Joseph Lister avait déjà sauvé beaucoup de malades grâce à des compresses phéniquées dont il n'expliquait du reste pas les modalités d'actions . Grâce à de patientes recherches , utilisant  microscope , colorants, et photographie , Koch en 1878 isola 6 différents types de bactéries qui étaient à l'origine de l'infection des plaies .

     

    A cette époque , le surnom du médecin de Wollstein commençait à s'étendre . En 1880 , il fut nommé membre de l'office impérial de santé à Berlin . Du même coup , il eut à sa disposition des équipements techniques modernes et 2 assistants . Il perçut un traitement annuel de 6 000 marks et emménagea dans un confortable appartement de 5 pièces . Sans tarder , il se mit à chercher un moyen de combattre les bactéries qu'il avait isolées . Il en essaya plusieurs , mais considéra que la vapeur était l'agent idéal ; de fait , on l'utilise encore aujourd'hui pour la stérilisation .


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  •  ....Ou l'étonnante carrière d'un des fondateurs de la microbiologie moderne .

     

    En 1974 , le choléra fit rage au Portugal et, du fait des touristes , menaça l'Allemagne , la Grande-Bretagne et d'autres pays européens .

    Très vite les chercheurs , notamment ceux de l'intitut Robert Koch , de Berlin , identifièrent la souche des bactéries en cause et informèrent l'organisation mondiale de la santé , à Genève , qui établit qu'elles avaient leur origine en Angola . L'épidémie fut promptement enrayée .

      Dr Koch

    Quoi de plus normal que l'institut Robert Koch ait joué un rôle éminent dans cette affaire , puisque le nom qu'il porte est précisément celui du médecin et bactériologiste allemand qui découvrit en 1883 l'agent mocrobien du choléra .C'est grâce aux travauw de ce savant que l'on a pu également maîtriser la tuberculose , lutter efficacement contre l'infection des plaies et commencer à élucider toutes sortes de maladies graves chez l'homme et chez l'animal ; aujourd'hui encore ils demeurent fondamentaux pour la bactériologie moderne .

     

    Né le 11 décembre 1843 dans une modeste maison  de Clausthal, près de Hanovre , Robert Koch était le troisième des treize enfants d'un ingénieur des mines . D'un naturel calme , il aimait collectionnerles insectes , les plantes et les minéraux , et à disséquer des cadavres d'animaux .

     

    Pauvre , il dut à une petite bourse , et à un sens rigoureux de l'économie , de pouvoir faire des études . En 1862, il s'inscrivit à un cours de sciences naturelles de l'université de Gôttinggen , mais il renonça bientôt pour faire sa médecine . A vingt trois-ans  , fraîchement diplomé , il épousa la fille d'un pasteur de Clausthal , la ravissante Emmy , qui lui donna un unique enfant , Gertrud , et fut pour lui une admirable compagne .

     

    Après la guerre de 1870, au cours de laquelle il servit comme major , il passa un examen pour entrer dans l'administration de la santé publique et c'est ainsi qu'à vingt-huit ans il fut nommé médecin de canton à Wollstein , une ville de 3 000 habitants  en Posnanie , aux appointements de 900 marks par an (l'équivalent de 5400 deutche marks de nos jours ) . Entre autres attributions , il avait la charge de 2 hôpitaux , était expert devant les tribunaux et devait même , dans certains cas , inspecter le bétail malade . 

     

    Peut-être aurait-il fini ses jours dans cette carrière si sa femme ne lui avait offert un magnifique microscope pour ses vingt-neuf ans .

     

    Ce choix fut des plus heureux . En effet , à l'école de médecine , Koch avait suivi avec un très vif intérêt le cours de Jacob Henle , un anatomopathologiste qui , dès 4840 , avait avancé l'idée selon laquelle les maladies infectieuses pouvaient être transmises par des organismes microscopiques .


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  • Catherine blossom

        Ingrédients : (2 pers)

    20 cl de jus d'orange

    1 cl de sirop d'érable

    2 boule de sorbet à l'orange

    eau gazeuse

     

    Passez le jus d'orange , le sirop d'érable et le sorbet à l'orange au mixeur

    Versez doucement l'eau gazeuse en remuant à la cuillère

    Versez dans des verres avec une demi tranche d'orange , une cerise confite et un chalumeau

     


                                                Barbarella

      Ingrécendrillondients :  (1 verre)

    5 traits d'angostura

    1 cl de jus d'orange

    20 cl de jus de raisin blanc

     

        Versez tous les ingrédients dans un grand verre ballon rempli de glace

    Mélangez à l'aide d'une cuillère

    Garnissez d'une fraise et de quelques raisins piqueés sur un chalumeau  

     


       Cendrillon (photo)

    Ingrédients : (1 pers)

    5 cl de jus de citron pressé

    5 cl de jus d'orange pressé

    5 cl de jus d'ananas

     

    Mettre les glaçons dans un shaker , verser les jus de fruits et agiter le tout

    Versez dans un verre décoré d'une tranche de citron , une demi-tranche d'orange et un morceau d' ananas  

     


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  • Le CHU de Caen ne pratique plus cette greffe du foie faute d'un 2 e chirurgien. Pour le moment, les personnes qui doivent être greffées sont orientées vers Rennes et Paris.

     

    bloc opératoire CaenChristophe Déterville (photo ci-dessus à gauche )a été greffé à 33 ans suite  à une maladie orpheline . Tous les 6 mois , il est suivi au CHU . Après la greffe , il parle de résurrection : << Avant j'étais très fatigué . Je suis enseignant et après ma journée de cours , j'étais obligé de m'allonger >>  et de l'importance du don d'organe.<< Il faut le dire à ses proches de son vivant . C'est très important >>.

    L'histoire

     

    « Je veux pousser un cri d'alarme pour les greffés du foie et ceux qui sont en attente d'une greffe. Depuis le départ en mai, des Dr Chiche et Salamé du CHU, cela fait six mois que la direction essaie de recruter un 2e chirurgien spécialisé comme la législation l'exige. Deux chirurgiens de Strasbourg ont dit non en mars. Le CHU a contacté un autre chirurgien d'Amiens qui a finalement décliné l'offre », explique Christophe Déterville, 41 ans, greffé depuis 8 ans. Il est aussi responsable de l'association Transhépates Normandie qui regroupe les transplantés hépatiques de Haute et Basse-Normandie. « Notre association tient des permanences au CHU de Caen pour soutenir les personnes greffées ou en attente de greffes. Nous menons aussi des informations sur l'importance du don d'organes ».

     

    « Le centre de greffe ne fermera pas »

     

    Ce qui inquiète également Christophe Déterville, c'est pour le suivi des transplantés du foie : « Le Dr Hervé s'en va au Parc, elle faisait partie de l'équipe qui nous suivait. Il reste une personne pour assurer le suivi après les greffes. Alors que nous sommes nombreux. J'avais vraiment confiance dans l'ancienne équipe, là je ne sais pas où on va ».

     

    Pour le moment les personnes qui ont besoin d'être greffées et qui demeurent dans le sud de l'Orne vont plutôt à Tours. Ceux de la Haute-Normandie vont vers Paris. Et ceux du sud manche, vers Rennes. « Pour ma part je me ferai suivre dans le privé. En espérant qu'il n'y ait pas de dépassements d'honoraires ».

     

    Marie-Astrid Piquet, présidente de la commission médicale d'établissement du CHU ne désespère pas de trouver un 2 e chirurgien spécialisé dans la greffe du foie. Interrogée sur la possibilité que le centre de greffe du foie ferme à Caen, elle répond : « J'ai posé la question à l'agence biomédicale qui m'a donné le feu vert pour continuer. Elle apprécie collaboration entre Caen-Rouen. A Rouen, ils ne font pas de greffe mais nous travaillons très bien ensemble ».

     

    La présidente de la CMU précise que les bilans de pré-sélection à la greffe se font toujours au CHU de Caen. « Tous ne peuvent pas être candidats à la greffe. Nous proposons des traitements alternatifs. Nous allons continuer également à suivre les personnes une fois qu'elles auront été greffées dans les autres centres. Et nous avons toujours le plateau technique qu'il faut pour. Nous rencontrons Transhépates fin octobre pour les rassurer ».

     

    Rennes et Paris ont récupéré selon elle, « une vingtaine de personnes à greffer chacun. Nous, l'an dernier nous avions réalisé 35 greffes ». De son côté l'agence biomédicale explique que « tous les patients en attente ont été transférés. Il n'y a pas de patients en danger à Caen ».

     

    Mais au-delà du problème que le CHU rencontre pour recruter, se pose la question de l'attractivité de la région pour des médecins extérieurs. Mais aussi du manque de chirurgiens spécialisés dans la greffe du foie, alors que le nombre de personnes en ayant besoin augmente. Pour finir, l'agence biomédicale vient de sortir son plan greffe 2012-2016 qui insiste sur la nécessité de développer les greffes et prélèvements d'organes. Concrètement, est-ce que le manque de chirurgiens spécialisés incitera les tutelles à mutualiser les moyens et à fermer des centres ? La question reste posée. (source: Ouest-France / Basse-Normandie / Caen / Archives du samedi 20-10-2012    Article de Nathalie Travadon)

     

     

     


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